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Commentaire de Legestr glaz

sur Le langage des cellules


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Legestr glaz Legestr glaz 15 août 2024 17:49

@Iris

Déjà en 1965 des chercheurs attiraient l’attention de la population sur les dangers de la pollution et de sa relation avec les épidémies de maladies respiratoires. Mais, accepter cette hypothèse, c’est renoncer à la « vaccination »’. C’est « ballot » n’est-ce pas ?

EXCESS MORTALITY AS AN INDICATOR OF HEALTH EFFECTS OF AIR POLLUTION

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1257340/pdf/amjphnation00149-0111.pdf

The authors were affiliated with the Division of Epidemiologic Research,
Department of Public Health, Cornell University Medical College (1300 York
Ave.), New York, N. Y. 10021. Dr. McCarroll is now professor of preventive
medicine and director, Division of Environmental Health, University of Wash-
ington School of Medicine, Seattle, Wash.
This paper was presented before the Epidemiology Section of the American
Public Health Association at the Ninety-Third Annual Meeting in Chicago, Ill.,
October 19, 1965

Les pics périodiques de mortalité à New York sont associés à des périodes de forte pollution atmosphérique. Les caractéristiques de ces épisodes sont discutées dans cet article, ainsi que les mécanismes possibles par lesquels ils produisent une surmortalité.

La surmortalité comme indicateur des effets de la pollution atmosphérique sur la santéJames McCarroll, M.D., F.A.P.H.A., et William Bradley, D.M.

La pollution de l’air en tant que cause directe de maladie ou de décès pour les populations urbaines est un sujet d’étude notoirement difficile. La preuve d’un effet immédiat sur la santé est venue principalement des rares épisodes aigus tels que ceux de Donora en 1947 et de Londres en 1952. Dans ces épisodes, et dans les quelques autres épisodes au cours desquels la mortalité suit de près une période de pollution atmosphérique, la présence de conditions atmosphériques inhabituelles, généralement un brouillard dense, a été facilement apparente aux résidents des zones touchées. (Une surveillance étroite de la mortalité quotidienne à Londres depuis 1952 a mis en évidence au moins six épisodes majeurs de forte pollution atmosphérique au cours desquels le nombre de décès excédentaires variait de 250 à 1 000. Dans chaque cas, la présence d’une pollution grave et persistante le brouillard a alerté les habitants des conditions atmosphériques inhabituelles.


La question de savoir si un excès de décès similaires peut également se produire dans d’autres zones urbaines en l’absence de brouillard est évidemment d’une importance majeure. Greenburg et ses collègues ont signalé trois épisodes majeurs de pollution atmosphérique à New York, au cours desquels ils ont recherché un nombre excessif de décès.

... Examination of total deaths in New
York City by day of occurrence shows
periodic peaks in mortality which are
associated with periods of high air pol-
lution. These peaks are usually asso-
ciated with periods of low wind speed and temperature inversion conditions
which permit air pollution to build up
to high levels. Unlike the experience
of London, fog is not a necessary part
of this picture, and therefore the pres-
ence of these episodes is often not ap-
parent at the time to most inhabitants.
A characteristic feature of these episodes
is the immediate rise in mortality oc-
curring on the same day as the peaks of
pollution. A second characteristic is
their frequent influence on death rates
in the 45- to 64-year age group as well
as in those over 65. These character-
istics suggest that if these excess deaths
are related to air pollution (as we be-
lieve to be highly likely), the mecha-
nism is probably protean and pervasive,
affecting the course of a variety of dif-
ferent diseases through a basic physio-
logic effect.

Je vous laisse découvrir le reste mais sachez que la mortalité induite par la pollution atmosphérique en automne-hiver est connue depuis belle lurette. Seulement voilà : trop d’intérêts en jeu, il faut mettre cette mortalité sur le compte d’un « virus ». Ceci est une supercherie


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