@Iris
Le « protocole » utilisé pour « isoler » et « purifier » un prélèvement pour y identifier des virus date de.... 1954. C’est le « même processus » qui est mis en oeuvre depuis 70 ans. Jamais, à ce jour, aucun « virus » n’a pu être identifié, directement, dans un prélèvement, dans une sécrétion quelconque. Tous les « virus » naissent dans le tube à essai à la suite d’une culture. Les virus n’existent « qu’in silico ».
... Toutes les allégations selon lesquelles les virus sont pathogènes sont fausses et reposent sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables. Les causes réelles des maladies et des phénomènes attribués aux virus ont déjà été découvertes et étudiées ; ces connaissances sont désormais disponibles. Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus en laboratoire travaillent en réalité avec des particules typiques de tissus ou de cellules mourantes spécifiques qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus.
En réalité, ces tissus et cellules préparés meurent parce qu’ils ont été affamés et empoisonnés à la suite des expériences en laboratoire. Les virologues croient avant tout à l’existence des virus, car ils ajoutent du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels prétendument « infectés » aux cultures de tissus et de cellules, et cela, il faut le souligner, après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est ensuite tuée par les virus.
L’essentiel, cependant, est que la mort des tissus et des cellules se produit exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait !
Selon la logique scientifique la plus élémentaire et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de « propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui provoquait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû réaliser des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, en lesquels ils ajouteraient des substances stériles ou des substances provenant de personnes et d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire. Ceci, bien entendu, pour vérifier si ce n’est pas la méthode elle-même qui donne ou fausse les résultats.
Ces expériences de contrôle n’ont jamais été réalisées par la « science » officielle à ce jour.