@ JPCiron
« ..les ashkénazes se déclarant supérieurs > Il semblerait qu’ils ont raison.. »
C certain d’après les rabbins, pas les femmes, explication.
A la question « Une femme peut-elle étudier le Talmud au même titre qu’un homme ? » le rav Sadin répondait (2023) : « … l’étude du Talmud par des femmes est très souvent une attitude féministe qui essaie de poser l’équivalence et le même degré de nature entre l’homme et la femme. C’est quelque chose importé du christianisme et de l’Occident qui est une destruction du féminin et du masculin… Il y a des clés spirituelles pour les femmes et des clés spirituelles pour les hommes. (à propos de la Torah il énonce que…) la femme va vouloir affirmer une maîtrise masculine de la Torah qui en réalité va être une destruction de sa spiritualité. J’ai tout de suite vu qu’il y avait des problèmes chez les femmes qui pratiquaient le Talmud… celles qui se limitent à la Torah ouvrent des perspectives exceptionnelles qui sont en elles... la Torah c’est la science de la différence… il y a une approche divine pour un homme de la Torah et une autre pour une femme… si on les mélange on n’est plus dans la Torah, on est dans le douteux, on peut aller voir un psychanalyste. Certaines femmes entreprennent des démarches intellectuelles mais c’est pour masquer en réalité un problème beaucoup plus trivial des rapports père-mère ou à son identité juive. Je n’ai jamais rencontré une femme qui ait été intéressée de grandir spirituellement qui avait une exigence d’affirmation… ça n’existe pas. Une femme qui veut grandir spirituellement elle a l’humilité d’écouter la tradition ancestrale d’Israël qui donne les clés initiatiques comment une femme et un homme doivent grandir dans la lumière divine. »
CQFD