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Commentaire de Legestr glaz

sur Variole du singe (mpox) : « ils » nous refont le coup ?


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Legestr glaz Legestr glaz 19 août 14:11

@Claude Courty

Des lésions cutanées sur l’ensemble du corps c’est nécessairement la « variole du singe » mais surtout pas une Rickettsiose ni un thypus, ni et ni. C’est « la » variole du singe forcément.

Il ne viendrait à l’idée de personne de faire le constat de l’état de santé de la personne qui porte ce genre de lésions cutanées ? La malnutrition, une hygiène déplorable, une pollution importante et le système immunitaire défaille. Celui des enfants n’est pas mature et celui des personnes âgées en perdition.

Mais bon, généralisons, généralisons, ne nous penchons pas sur les véritables problèmes. Pensons « virus », pensons « vaccins », pour le plus grand bien d’une certaine économie. Et que ceux qui voudraient faire des mises en perspective soient qualifiés de complotistes impénitents est parfaitement justifié.

Il existe des endroits où les maladies se développent plus facilement qu’ailleurs. Les « virus » sont une manière « élégante » d’évacuer des problèmes majeurs devant lesquels nous détournons pudiquement les yeux. 

... «  Il est possible à chacun de »constater« que ces maladies dites »contagieuses« , attribuées à des »pseudo-virus« sont »systématiquement des maladies qui se propagent dans des contrées ou la « malnutrition » et les conditions sanitaires sont déplorables.


C’est toujours le cas, d’ailleurs pour le SIDA, pour la tuberculose, pour Ebola, pour la Dengue et pour la poliomyélite. « On » nous raconte de belles histoires. Le problème n’est pas un problème de « pseudo-virus » mais un problème « d’immunité ». Des carences alimentaires, de la malnutrition, l’hygiène de l’eau, expliquent parfaitement bien le développement de maladies chez des personnes au système immunitaire affaibli.

Et si l’on ajoute au tableau la « pollution atmosphérique », les pesticides et autres molécules chimiques venant des épandages agricoles (à certaines périodes bien précises de l’année), nous avons devant les yeux le tableau général de ce qui rend malades les êtres humains fragilisés, pour une raison ou une autre.


La poliomyélite et le SIDA sont deux exemples très caractéristiques du développement de ces deux maladies dans des régions où la malnutrition est active et où la qualité de l’eau est déplorable. Voici ce que l’on lit concernant la poliomyélite. Il serait grand temps de remettre les pieds sur terre !


... « Les zones surpeuplées où circule le poliovirus, où l’infection peut facilement se transmettre entre personnes. Les zones généralement à risque sont les bidonvilles périurbains et les camps pour déplacés internes ou pour réfugiés, où les exigences minimales en matière d’eau propre et d’assainissement ne sont pas remplies. L’eau contaminée par de la matière fécale humaine, par exemple l’eau provenant des égouts, de fosses septiques et de latrines, est une source d’infection. L’eau peut également être contaminée durant son transport, son entreposage et sa manipulation. Les aliments et l’eau préparés ou entreposés dans des conditions non hygiéniques ; la consommation de fruits et légumes crus lavés dans de l’eau contaminée ; les crustacés provenant d’une eau contaminée ou consommés crus ou pas assez cuits. »...


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