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Commentaire de Legestr glaz

sur Variole du singe (mpox) : « ils » nous refont le coup ?


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Legestr glaz Legestr glaz 20 août 2024 01:04

@Eric F
Variole du singe : 
... « La maladie peut être sévère dans certains cas, causant des décès chez 0,1 à 3,6 % (clade ouest-africain ; clade II) ou jusqu’à 10 % (clade centrafricain ; clade I) des malades en Afrique. La plupart de ces décès se produisent chez des populations n’ayant pas facilement accès à des soins de santé, en particulier des enfants, plus sensibles à la maladie, et des personnes immuno-déprimées. »

La variole du singe fonctionne donc sur les populations appauvries, disposant d’une mauvaise alimentation et d’un hygiène déplorable. Le virus a une nouvelle fois « bon dos ». Schéma de propagation dans les milieux pauvres, profils concernés : les immuno-déprimés et les enfants (au système immunitaire immature).

... « La maladie est plus grave chez les enfants et chez les personnes immunodéprimées. Les boutons peuvent s’infecter et il peut y avoir des problèmes de respiration, de digestion, des troubles au niveau des yeux ou encore des troubles neurologiques. A ce stade, très peu de décès ont été signalés. »...

Encore une maladie du moyen âge. Une fois de plus le « méchant virus » va prendre toute la place. Et allons y pour un vaccin « sûr » et « efficace » ! Et, ne l’oublions pas, c’est un test PCR qui détermine que vous avez, ou pas, la variole du singe. Le « chemsex » fête sans grand retour.
... « Le chemsex, c’est l’usage de substances psycho-actives illicites lors de rapports sexuels. Souvent associée à la déshinibition et au plaisir par les usager.e.s la pratique du chemsex comporte de nombreux dangers, dont des risques de mortalité et d’addiction. Les produits consommés dans le cadre de chemsex sont souvent addictogènes. Ils incluent des stimulants et euphorisants tels que les cathinones, la cocaïne, la méthamphétamine, et l’ecstasy/MDMA, parfois accompagnés de kétamine et de GHB.

... Méthamphétamine : L’injection sous-cutanée ou intramusculaire. Elle présente moins de risque d’overdose et de bactériémie que la voie intraveineuse. Elle expose cependant au risque d’abcès. 

Faisons nous un petit plaisir alors que la désinformation va bon train.

... » Tous les patients présentant une variole du singe confirmée par une PCR positive pour le Monkeypox virus à l’hôpital Bichat - Claude Bernard, AP-HP, Paris ont été inclus dans cette étude. Entre le 21 mai et le 5 juillet 2022, 420 patients ont été testés pour le Monkeypox virus, dont 264 ont eu une PCR positive.

Parmi les patients, 99% (n=262) étaient des hommes dont 95% (n=245) ayant des relations sexuelles avec des hommes et 42% (n=90) ayant pratiqué le chemsex (fait de combiner rapports sexuels et prise de drogues) au cours des trois derniers mois.

Par ailleurs 29 % (n=73) d’entre eux vivaient avec le VIH et 71% parmi les autres patients prenaient une prophylaxie pré-exposition en prévention de l’infection par le VIH (PrEP).









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