Ceux n’ayant pas une mémoire de poisson rouge, se souviennent quand même que l’épidémie de Covid-19 qui a eu de telles conséquences sur nos vie durant 3 ans était dû à un virus artificiellement bricolé suite à des études financées au titre de recherches US sur le bioterrorisme dans des conditions de sécurité irresponsables. Ce virus n’aurait pas existé sans ingénierie humaine et donc imaginer que demain une épidémie d’une telle ampleur nous attend c’est chercher à faire intentionnellement peur avec des dessins non explicites, mais probablement financiers sinon politiques.
Il ne faut jamais laisser passer les opportunités créées par un bon chaos, qu’il soit naturel ou organisé. Le précédent a été organisé, au point qu’une étude de plus récente arrive à la conclusion que la réponse des pouvoirs publics à cette épidémie aurait fait plus de morts que le virus (artificiellement crée on le rappelle). La Nature a le dos large, mais ne l’accusons pas quand nous sommes coupables. Par ailleurs si les virus circulent d’un continent à l’autre à 900 km/h au dessus de nos têtes, ce n’est pas la Nature qui en est responsable. Pas plus qu’elle n’est responsable des migrations massives de populations, la seule population blanche de Londres est passée de 80% à 36% en 20 ans seulement, qui font circuler aussi les pathogènes.
L’épisode 2009 de grippe « H1N1 » avait montré que des vaccins classiques administrés à une population ne risquant rien d’une grippe assez classique, pouvaient occasionner des handicaps à vie sans qu’on sache pourquoi. Celui de Covid-19 a montré que les gouvernements peuvent vouloir prendre des risques collectifs considérables en se réfugiant derrière la publicité mensongère des laboratoires sur des produits dont on savaient peu de choses.
C’est après coup qu’on a découvert qu’ils n’empêchaient pas d’attraper le virus, d’être malade, d’être contagieux, voire d’avoir des ennuis très sérieux, sans parler des effets secondaires. Avoir vacciné des femmes en âge d’avoir des enfants et des enfants aura été un scandale scientifique et moral passé quasiment inaperçu, alors que pour ces deux catégories, les risques dépassaient tout bénéfice prévisible à attendre de ces bricolages mal maîtrisés.
Non seulement la science a été foulée au pied, mais l’éthique et le bon sens, au seul motif d’une résolution la plus rapide possible d’un problème endogène à l’espèce humaine, car on a découvert que la priorité pour nos sociétés n’est pas la santé des gens, mais bien le chiffre d’affaires d’entreprises privés.
Ce virus ne serait pas ’Une urgence de santé publique de portée internationale", selon le directeur de l’OMS, si les migrations massives et l’aviation bon marché ne se combinaient pas à un déclin de l’accès aux soins un peu partout dans les pays riches et à une paupérisation d’une partie de leurs populations.
Il reste à prouver qu’il l’est vraiment.