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Commentaire de Étirév

sur Australie : création d'un « Ministère de la misandrie »


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Étirév 27 août 2024 10:42

La Femme… Pauvre créature, née pour aimer et toujours empêchée de remplir cette fonction sainte ! Vouée par ce monde corrompu, aveugle, à une existence tourmentée, cherchant toujours ce bonheur promis et légitime, et n’y arrivant jamais. Etrangère, comme égarée, dans un monde indigne d’elle, qui a commencé par la méconnaître ou par en abuser, et qui ne cherche plus de satisfactions, aujourd’hui, que dans la licence dégradante, le luxe ridicule, l’ambition absurde ou la domination féroce.
Que tout cela est loin des joies pures que la jeune fille rêve encore, dans son ignorance de la corruption qui l’entoure !
NB : Les forces agissantes de la Maternité ont créé une humanité droite, docile, disciplinée… d’abord, jusqu’au débordement des passions de l’homme. Mais, pendant cette époque primitive, quel Paradis était la Terre !... Nulle révolte ! nul mensonge ! nulle rébellion !
Dans tous les hommes, à moins qu’ils ne soient des monstres, le souvenir maternel a laissé dans l’Âme une impression profonde faite de respect et de tendresse sacrée.

Si tous les enfants étaient élevés dans la Vérité, il n’y aurait pas d’homme méchant.

La Femme est la lumière qui éclaire, élève, vivifie ; c’est le splendide soleil qui illumine le désert de la vie masculine, car l’esprit de l’homme est une terre fertilisable, mais sur laquelle pèsent d’éternelles ténèbres s’il est laissé à lui-même. Si cette terre est fécondée par l’Esprit féminin, elle peut voir germer une magnifique moisson de sublimes pensées, de sentiments profonds, de louables actions, mais l’homme laissé à sa solitude est néant.
Le vilain crapaud ne devient-il pas le beau prince lorsque la princesse l’embras(s)e ?
Dans le Livre de Tobie, L’Ange incognito qui va servir de guide, de « Compagnon de route », à Tobie dit qu’il se nomme Azarias ; ce nom formé sur le terme hébreu « ezer », qui signifie « aide », est aussi employé dans la Genèse pour désigner la femme que le créateur donne comme « aide » à Adam. C’est le secours prodigieux que Dieu propose à l’homme seul ou en détresse afin de le relever.

L’homme seul est en mauvaise compagnie.

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