@pemile
Je ne nie pas l’existence des « virus », pemilis, je reconnais l’existence des « virus in silico ». Vous savez, ceux qui après avoir été identifiés permettent l’élaboration de tests PCR pour les retrouver facilement par la suite chez les « asymptomatiques ».
Que voulez vous pemilis, je crois que les maladies ne sont pas « transmissibles ». Vous avez parfaitement le droit d’avoir cette croyance. Ce n’est pas une raison de me proposer votre opinel. Permettez que je développe mes arguments. Vous pouvez faire de même avec les vôtres. c’est tout ce que vous avez à faire ici.
J’assume très facilement ma position. Et tellement bien que je pourrai prédire, avec quelques jours d’avance, les épidémies de maladies respiratoires en automne-hiver, par la seule observation des conditions climatiques et atmosphériques. Parce que les épidémies de grippe ou de coronavirus sont absolument corrélées à des taux augmentés de pollution atmosphérique.
Voyez vous, pemilis, nul besoin de mettre dans la balance des « virus in silico », les molécules gazeuses et particulaires de la pollution atmosphériques sont bien assez dangereuses pour emporter la vie de personnes à l’immunité dégradée. Et ceci concerne également les bronchiolites parce que les jeunes enfants ont des systèmes immunitaires immatures.
Février 2023 : « Quand la pollution peut aggraver… votre grippe. L’association Respire alerte sur la situation de la pollution en France alors que dix régions sont touchées par un pic ces derniers jours et souligne le lien entre les particules fines et les maladies respiratoires, comme l’a relevé TF1 Info. « Il y a eu un gros pic de pollution fin novembre-début décembre, on n’a rien vu. Il n’y a eu aucune mesure de prise et, derrière, il y a eu un pic de grippe, Covid et bronchiolite », assure Tony Renucci, directeur de l’association. »
https://www.lepoint.fr/sante/covid-bronchiolite-quand-la-pollution-exacerbe-les-epidemies-en-france-16-02-2023-2508846_40.php#11
Surtout, pemilis, ne regardez pas la « réalité observable » en face, elle va à l’encontre de ce que nous dit « l’académie » concernant les infections respiratoires et toutes les maladies à « virus in silico ». Ces « virus in silico » qui permettent de masquer la réalité et de dédouaner bien des « pollueurs » qui, sans ces « virus in silico », se retrouveraient devant les feux des projecteurs.