@Soucougnan
« je sais faire la différence entre un humour douteux et une vraie haine raciste, bon sang ! »
Je n’en doute pas. Mais il se trouve que j’ai joué au foot dans une équipe composée presqu’intégralement d’Antillais (certains jours j’étais le seul blanc).
Il se trouve également que j’ai eu la charge de jeunes footballeurs en région parisienne dont une partie était constituée de Noirs et d’Arabes.
Je n’ai pas été témoin de nombreux propos racistes, mais j’en ai entendus en quelques occasions, hélas !
Et dans la région d’origine de mon épouse (le Sud-Ouest), il n’était pas rare d’entendre des habitants parler (sans penser à mal) de « négrillons » et de « bicots ».
« pourquoi croyez-vous que ce qui serait tolérable pour vous ne le serait pas pour moi ? »
??? Je ne comprends pas le sens de cette phrase.
« L’entrepreneur voulait montrer les animaux sauvages de l’Afrique avec à côté les humains qui les côtoient »
Vous avez mal (ou pas) lu l’article et les commentaires.
Les animaux ne venaient pas seulement d’Afrique mais de tous les continents.
Quant aux humains en question, ils étaient censés représenter, dans un village factice, des villageois de Côte d’Ivoire qui, dans leur pays, ne vivaient pas du tout au contact des animaux sauvages présentés dans ce zoo.
Et surtout ces Ivoiriens étaient exploités de manière honteuse : passeports confisqués, payés en francs CFA au tarif ivoirien, ils étaient le soir venu barricadés dans un espace indigne. D’où la condamnation du parc pour violation du droit du travail et violation des droits humains !
Strictement rien à voir avec les employés du Parc Astérix !