En 2001, selon le Cheikh Ahmad al Qaatani, un clerc saoudien répondant à Al Jazeera « Toutes les heures, 667 musulmans se convertissent au Christianisme. Chaque jour, 16000 musulmans se convertissent au Christianisme. Chaque année, 6 millions de Musulmans se convertissent au Christianisme ».

Le site Muslim statistics rapporte que près de 350 millions de personnes vivent extérieurement comme des Musulmans mais sont des Chrétiens dans le privé.

Les musulmans qui ont rencontré Jésus savent qui il est et demandent le baptême chrétien. L’Eglise Catholique en baptise 200 à 300 par an en France et ce chiffre est en augmentation. Il est vrai que la discrétion et de rigueur et parfois la paroisse demande la protection de la police qui n’est, bien sûr, pas refusée. Celui qui veut devenir Chrétien doit attendre deux années de formation et de discernement. Celui qui veut sortir n’a rien a demander.

Dans l’autre sens, il suffit de réciter une formule dans une langue que l’on ne comprend pas devant 2 témoins, mais on ne peut théoriquement en sortir que dans un cercueil...

Les réseaux sociaux sont maintenant une source importante d’apostasie. En effet, grâce à ces réseaux, tout musulman peut obtenir des réponses discrètes à ses questions impertinentes sur sa religion. Autrefois, il était possible d’interdire des livres gênants, mais avec Internet ce n’est plus possible.

Il n’y a plus que les musulmans qui ignorent que la langue du Coran n’était pas parlée dans le Hejaz où les Abbassides ont construit La Mecque un siècle après la mort de Muḥammad. Muḥammad a été totalement oublié pendant les 60 années qui ont suivi sa mort, parce que à l’époque, selon la croyance des Nazaréens, le prophète, c’était Jésus et la ville sainte Jérusalem. C’est le calife ʿAbd Al-Malik, qui constatant que Jésus ne revenait pas malgré les deux reconstructions du Temple de Jérusalem a décidé de raser ce Temple pour faire un monument à sa gloire en 692 et qui a fait du plus obscur de ses prédécesseurs, créateur du premier royaume arabe en 622, un prophète pour effacer Jésus. Ainsi, si pour tous les Arabes de l’époque « Le Messager » que l’on trouve dans le Coran était Jésus, après sa réforme, c’était Muḥammad. Les musḥaf, ces manuscrits les plus anciens témoignent de ces changements théologiques. Ils sont accessibles en haute définition sur le site de corpuscoranicum.

Les Abbassides ont créé La Mecque, dans un lieu totalement inhabitable pour effacer Jérusalem mais aussi pour revendiquer le pouvoir face aux Omeyyades. La fameuse pierre noire, volcanique, aurait été un cadeau d’Allah pour désigner le calife. On trouve des pierres semblables dans tout le Moyen Orient. Le puits de zemzem est parfaitement non potable, aussi minéralisé que de l’eau de mer et contenant de l’Arsenic. D’ailleurs, vous ne trouverez sur le site aucun arbre aux racines profondes capable de puiser l’eau de la nappe phréatique. Les Abbassides ont creusé 38 km de canaux et d’immenses citernes pour récupérer l’eau des rares orages. Il n’y avait pas de caravanes dans la région de La Mecque au 6ème et 7ème siècle car toutes les marchandises transitaient par la Mer Rouge. Par contre, près du port de Lattaquié, où la langue du Coran était utilisée, on trouve des traces des Qurayš et aussi des Nazaréens, dont la théologie est proche de l’islam (voir Eusèbe de Césarée). Lattaquié était le point de départ de la route de la soie.

Tout ce que j’écris est le fruit du travail des historiens archéologues, linguistes, philologues, épigraphistes... qui ont travaillé sur la naissance de l’islam. Aujourd’hui, le récit qu’ils présentent est parfaitement cohérent et pour le contester, il faudra présenter des faits vérifiables de même niveau. J’ai encore beaucoup d’autres faits collectés par ces scientifiques qui vont toujours dans le même sens.