Ce n’est pas gentil de prendre les électeurs d’Agoravox pour
des imbéciles et des ignorants. Vous ne vous seriez pas trompé de porte ?
« Parmi les
arguments des adorateurs de la sociale pour toujours plus dépenser (le social
n’a évidemment jamais de limites, c’est un puit sans fond), pour faire de la
relance keynésienne (comme en 1930) ou une politique de la demande (de produits
importés de chine principalement) l’idée exprimée parfois par certains d’une
prise d’otage de nos partenaires européens (un peu comme la prise
d’otages des usager durant les grèves de la SNCF) »
→ Alternatives
Économiques, spt.24, Christian Chavagneux.
« La
politique de l’offre engagée depuis 2014 n’a rien donné. Cette année-là le
déficit extérieur s’établissait à 15,4 milliards d’euros .Il était de 56, 4
milliards d’euros l’an dernier.
La compétitivité se gagne par des produits innovants et chers, pas par les
baisses d’impôts sur les riches et les entreprises.
Il faudra aussi remettre sur pied nos services publics. Soyons
directs : notre police, notre système de santé, notre système éducatif,
notre justice prennent l’eau. Il faut des moyens et une organisation mise au
service du public. Bref, il va falloir réparer les dégâts économiques du
macronisme.
Enfin, selon les données de la World Inequality Database, les
1 % les plus riches concentraient 10,8 % des revenus en 2017 et
12,7 % en 2022. Durant la même période, le taux de pauvreté est passé de
14,1 % de la population à 14,4 %. Il va aussi falloir réparer les
dégâts sociaux du macronisme. »