@Daniel MARTIN

Bonjour, 

Je crois que les quelques lignes de votre introduction se suffisent à elles mêmes pour présenter ces « écologistes ».

Qui sont ils/elles, d’où viennent ils/elles, de quel milieu social viennent ils/elles, etc de très nombreuses questions qui restent finalement sans réponses réelles.

Je n’ai jamais aimé ce terme « écologiste » dont le sens me semble fortement péjoratif, mais qui devant les élucubrations insensées de ces derniers depuis quelques années trouve tout son sens. Les « verts » politique n’ont plus de rapport avec l’environnement, il suffit simplement de les écouter attentivement après un « sitting » organisé pour comprendre qu’ils/elles ne perçoivent les enjeux que de loin, si tant est qu’ils/elles les perçoivent ce dont je doute fortement. Menant des « combats » qui sont très loin d’être fondamentaux. 

Ils en sont arrivés par se décrédibiliser complètement aux yeux du public, pire même car leur inconséquences ont des effets fortement négatifs sur ceux qui même de véritables actions et c’est grave.

Je ne sais plus qui avait dit, que tant qu’un parti « écologique » existe rien ne sera fait, car les autres, ceux détenant le pouvoir n’en n’ont que faire, tant que la prise en compte des impacts du mode de vie ne sera pas dans les gènes des partis dominant c’est peine perdue.

J’abonde dans votre sens, que les « écologistes » d’aujourd’hui leur donne parfaitement raison.

Pour finir « l’écologie » doit elle avoir une couleur politique ?

Assurément non, ils/elles ont sombrés dans l’oubli par leur comportement idiots et extrémiste et maintenant pour exister, s’en vont vers le parti qui prône comme eux une sorte de révolution anarchique, sans mesure des impacts sur le lendemain.

Ce qui à mon sens semble être une caractéristique commune de la soit disant « Gauche » depuis les années roses, dont nous payons les conséquences aujourd’hui et encore pour de nombreuses années.

Plus ce « parti » agira comme il le fait, plus le/les pouvoirs en place les utiliserons pour ne rien faire, prenant en exemple leur inconséquences ? Finalement, ils/elles desservent une chose fondamentale, sans s’en rendre compte hélas. 

Pitoyable non ?