@Octave Lebel
Si
vous avez des explications détaillées nous montrant pourquoi et comment la
supercherie que vous évoquez fonctionne, faites-en nous profiter.
Je suis un scientifique à la retraite, pas un flic.
Tout ce que je peux vous dire, c’est que pour travailler comme chercheur dans une université, il faut un financement. Et la meilleure façon de ne pas obtenir de financement, c’est d’aller à contre courant de la doxa politique. C’est ainsi, nous en sommes revenus à l’époque de l’inquisition. On ne condamne plus au bûcher, mais on assèche les sources de financement.
Le GIEC n’est pas une organisation scientifique destinée à découvrir la vérité sur le climat, mais une organisation politique destinée à vendre la thèse de la responsabilité du CO₂ anthropique dans le réchauffement climatique.
J’ai aussi été pendant un temps aussi étonné que vous qu’autant de travaux qui vont dans le sens de la responsabilité du CO₂ anthropique ne soient pas l’objet d’une analyse plus sévère. Après ce qu’il s’est passé avec le vaccin « COVID », cependant, plus rien ne m’étonne.
Ceci dit, vous avez raison qu’il y a surconsommation de ressources naturelles. Mais cela est fortement lié à la croissance démographique et au fait que des populations comme la chinoise, qui ont vécu pendant ces derniers siècles dans une pauvreté abjecte, en partie par la faute de l’Occident, ne veuillent se faire plaisir, aujourd’hui qu’elles en ont obtenu les moyens grâce à leur ingéniosité et à leurs efforts.
Et vous avez aussi raison sur le fait qu’il y a des pollutions plus insidieuses que l’on cache en attirant tous les regards de la foule sur le CO₂.
Et il y a aussi le big business engendré par ces folies de transition énergétique, voitures électriques, moulins à vent...