@mac
Ces maladies infectieuses respiratoires ne sont que des dysfonctionnements de l’équilibre « redox » des organismes.
Cet « équilibre redox » est totalement rompu chez les obèses, les personnes en surpoids, les cancéreux, les insuffisants rénaux, les hypertendus, les immunodéprimés, les diabétiques. Ce qui fait quand même pas mal de monde.
Et cet équilibre redox est mis à rude épreuve lorsque les taux de pollution atmosphérique augmentent dans l’environnement humain. Dans ces conditions, il n’est pas « nécessaire » de se toucher, de se fréquenter, de se cracher dessus, pour voir apparaitre les symptômes des déficiences respiratoires, puisque les personnes qui vont tomber malades respirent le même air contaminé.
De nombreuses études montrent que le taux de glutathion (l’anti-oxydant « roi » de l’organisme humain) fait furieusement défaut dans les voies respiratoires chez les personnes que j’ai listées. En conditions physiologiques « normales », le taux de glutathion dans les voies respiratoires inférieures est 140 fois (cent quarante fois) supérieur à celui du plasma sanguin. Et pourquoi ? Parce que les voies respiratoires inférieures sont le lieu de passage des polluants particulaires et gazeux de l’atmosphère que nous respirons.
Les « vaccins » sont une cautère sur une jambe de bois concernant l’équilibre redox chez l’être humain. Les vaccins ne peuvent pas être efficaces parce qu’ils ne protègent de rien.
En revanche, certains anti-oxydants, mais pas tous (pour des raison « d’assimilation »), peuvent avoir des effets salutaires sur l’organisme. Cela a été le cas de l’utilisation de la vitamine C, un puissant antioxydant, qui a pu être délivrée en intraveineuse chez des personnes malades en service d’urgence avec des résultats absolument remarquables. Cela a aussi été le cas pour le zinc, un co-facteur de la SOD Cu-Zn (superoxyde dismutase cuivre-zinc , un antioxydant cellulaire), mais aussi pour l’hydroxychloroquine (un anti-oxydant issue du bleu de méthylène), comme pour l’ivermectine (qui possède des fonctions antioxydantes). En réalité, ces molécules qui apportaient un « mieux » dans la maladie avaient toutes des vertus « antioxydantes ».
Parce que l’organisme humain, soumis à des taux de pollution augmentée, doit se débarrasser de ces particules manométriques qui pénètrent profondément les voies respiratoires du fait de leur toute petite dimension. C’est pour cette raison que le « glutathion », ce puissant antioxydant, est si présent dans les voies respiratoires inférieures. Il permet que « l’équilibre redox » soit maintenu en situation d’agression par des oxydants comme le sont toutes ces molécules de la pollution (SO2, CO, NO et NO2, HAP, COV, etc, que nous « respirons » ! ).
Le seul moyen de les éliminer c’est de les « oxyder ». Mais une fois cette opération réalisée, il faut « neutraliser » le milieu par la production d’antioxydants. Et c’est là que le bât blesse chez les personnes listées plus haut. Leur défense antioxydante n’est pas assez puissante (pour des raisons parfaitement bien identifiées) et la balance « redox » chute considérablement dans le sens d’un stress oxydatif terrible. C’est alors la survie de l’organisme qui est en jeu.
https://www.atmo-nouvelleaquitaine.org/article/influence-de-la-meteo-sur-la-qualite-de-lair
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33297491/
... Il existe un nombre limité de thérapies éprouvées pour le COVID-19. Les effets antioxydants, anti-inflammatoires et immunomodulateurs de la vitamine C en font un candidat thérapeutique potentiel, à la fois pour la prévention et l’amélioration de l’infection au COVID-19, et comme thérapie d’appoint dans les soins intensifs du COVID-19. Cette revue de la littérature se concentre sur la carence en vitamine C dans les infections respiratoires, y compris la COVID-19, et les mécanismes d’action dans les maladies infectieuses, y compris le soutien de la réponse au stress, son rôle dans la prévention et le traitement du rhume et de la pneumonie, et son rôle dans le traitement de la septicémie et COVID-19 [FEMININE. Les preuves à ce jour indiquent que la vitamine C orale (2 à 8 g/jour) peut réduire l’incidence et la durée des infections respiratoires et il a été démontré que la vitamine C intraveineuse (6 à 24 g/jour) réduit la mortalité, unité de soins intensifs (USI ) et séjours hospitaliers, et le temps sous ventilation mécanique pour les infections respiratoires graves. D’autres essais sont nécessaires de toute urgence. Compte tenu du profil d’innocuité favorable et du faible coût de la vitamine C, ainsi que de la fréquence des carences en vitamine C dans les infections respiratoires, il peut être intéressant de tester le statut en vitamine C des patients et de les traiter en conséquence par administration intraveineuse dans les USI et administration orale chez les personnes hospitalisées atteintes de COVID -19.
... Les réactions redox font partie intégrante du fonctionnement des systèmes biologiques et jouent un rôle essentiel dans divers processus cellulaires. La respiration cellulaire, la photosynthèse et le métabolisme des médicaments et des toxines reposent tous sur des réactions redox. Des enzymes appelées oxydoréductases facilitent ces réactions, assurant la régulation et l’équilibre appropriés des processus rédox cellulaires.
Le stress oxydatif et ses implications :
Lorsque l’équilibre entre oxydants et antioxydants est perturbé, un stress oxydatif apparaît. Cet état de déséquilibre fait pencher la balance en faveur des oxydants, entraînant un excès d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) dans les cellules. Les ROS sont des molécules hautement réactives qui peuvent endommager l’ADN, les protéines et les lipides, entraînant un dysfonctionnement cellulaire, voire la mort cellulaire. Le stress oxydatif a été impliqué dans le développement de divers problèmes de santé, notamment les maladies cardiovasculaires, les troubles neurodégénératifs et le cancer.
Antioxydants : Les Gardiens de l’Équilibre Redox
Les antioxydants jouent un rôle essentiel dans le maintien de l’équilibre redox en neutralisant l’excès de ROS (les espèces réactives à l’oxygène, en d’autres termes, des oxydants) et en prévenant les dommages oxydatifs. Ces composés fonctionnent en donnant des électrons pour stabiliser et neutraliser les espèces réactives de l’oxygène, empêchant ainsi la cascade de réactions nocives. Les antioxydants peuvent être obtenus à partir de diverses sources, notamment les fruits, les légumes et certains suppléments. L’intégration d’une alimentation riche en antioxydants peut aider à maintenir l’équilibre redox et à protéger contre les dommages liés au stress oxydatif.
24/09 13:00 - ETTORE
@anaphore J’ai mieux que ça ... Mon ancien docteur, parti à la retraite, à vendu ou, a (...)
22/09 18:56 - anaphore
Mon médecin à la retraite je tombe sur un jeune docteur qui ne me prescrit pas d’anti (...)
22/09 09:54 - phan
@phan L’Ordre leur interdit de prescrire ! Gérard MAUDRUX - Scandale de (...)
20/09 22:01 - V_Parlier
20/09 16:31 - phan
@Hector L’Ordre les interdit de prescrire ! . SURPRISE : la surmortalité concerne tous (...)
20/09 13:48 - Hector
@phan Vous oubliez de préciser que personne ne les y oblige.
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