@Eric F
Décidément
l’extrême-droite ne sait plus comment sauver les apparences. Cela semble plus
difficile qu’après la défaite aux présidentielles de 2022.
Desinit in piscem.
L’extrême-droite finissant par croire aux rêves de grandeur décrits par ses
sponsors avec leurs sondages sur mesure lui accordant un 27 sur 27 tandis qu’au
fur et à mesure de nos interrogations nous avons fini par découvrir des
candidats plus vrais que nature et un leader affichant l’assurance et l’allure
d’un premier ministre incapable d’expliquer et défendre ses propositions et
promesses (décidément un trait de famille), se retrouve maintenant embarquée
dans une fuite en avant, tentant de se faire passer à la fois pour l’arbitre de
la situation et la victime d’un complot alors qu’elle vient de recevoir
la sanction qui lui pendait au nez de sous-estimer en permanence la
compréhension politique de ses concitoyens. Elle se retrouve, comme annoncé,
malgré l’atténuation de sa défaite par l’incontournable collusion des
électorats de droite qui se disputent le morceau mais se soutiennent (nos
intérêts économiques avant tout) quand leurs candidats sont directement menacés
par la gauche), l’instrument vacillant et instable d’une coalition introuvable
où chacun voudrait pouvoir tromper l’autre à ses dépens.
« Desinit in piscem » comme disaient les anciens.
Il semblerait par ailleurs que dorénavant nos concitoyens, ayant repéré le
jeu de ces compères qui faussent les résultats de leurs votes, ont commencé de
comprendre qu’il s’agit de voir venir d’avance ces manœuvres pour les anticiper
en votant utile et en nombre dans les scrutins et ce dès le premier tour dans
les votes à deux tours.
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