Aux
commentateurs qui précèdent.
Comme dernier
recours, la victimisation, un peu facile, non ? La victimisation versus
diabolisation de ce que vous ne réussissez
pas à contredire valablement. Parce de mon côté, il n’y a pas besoin de
dissimuler des convictions qui sont celles de millions de citoyens et qui sont
en cohérence avec le constat de faits probants, vérifiables et des arguments
qui en découlent. Il s’agit de la simple mais puissante conjonction de l’intelligence
collective et de la démocratie qui est une aspiration assez nouvelle
dans sa dimension citoyenne, en phase avec l’époque. Qui a deux ennemis puissants et persévérants, le mensonge
sous toutes ses formes et la force de moyens et outils médiatiques et juridiques de plus en plus sophistiqués pour la faire taire. Ce recours à la
victimisation ici comme dernier argument ne ressemble-t-il à un aveu d’échec pour ceux qui distillent la propagande de l’encadrement et des élus du RN et de l’extrême-droite en général ?
Sur un sujet
relativement simple. L’oligarchie, en
fin de cycle du fait des effets économiques et sociaux qu’elle a générés déclenchant
un mélange de révoltes, colères et résignation
évoluant vers une revendication qui se généralise de démocratie citoyenne,
justice sociale et responsabilité écologique partagée. Avec la difficile et
énergivore manœuvre pour l’oligarchie et ses tenants de tenter de contenir le
débat politique au sein de la droite.Comme
garante d’un néolibéralisme dont ses deux tendances historiques se
disputeraient le leadership tout en rêvant d’un affichage démocratique mettant en réalité une fois pour toute la gauche
citoyenne et démocratique de côté. Un peu à l’américaine.
À chacun de voir où il se situe.
De ce côté auquel je m’adresse, à ceux qui cherchent, électeurs du RN ou pas, une
solution pour notre pays du côté de la démocratie, qui n’est pas une vaine
chose, et de la justice sociale. Ou de celui de l’encadrement et des élus du RN
qui cachent l’essentiel de leurs intérêts et objectifs à ceux dont ils ont
besoin de la confiance et de l’ignorance entretenue voire flattée à l’occasion.