@jakem
Je ne clos rien du tout en affirmant le droit d’Israël de se défendre.
C’est peut-être votre manière de penser, mais pas le ressenti du lecteur. Mais bon, nous avons vos deux derniéres phrases pour comprendre votre soucis du ressenti du lecteur.
Les unités israéliennes que vous évoquez ne sont pas intervenues immédiatement, même pas dans la demi-heure, puisqu’elles n’étaient pas sur place.
Ce qui ne change rien, les unités du hamas et organisations affiliées étaient toujours sur place. Israel a envoyé des hélicos de combats tiré des obus de 30mm et des missiles Hellfire. Ca n’est pas un traitement pour récupérer des otages. En tout cas, le GIGN ne dispose pas de tels équipements !
Sans être sur place, ma bonne fois me permet de mener une évaluation entre une intervention du GIGN et la réponse le 7 octobre. Vous avouerez que cela a peu à voir.
Quant au rôle que le Hamas s’est attribué, ce n’est évidemment pas celui d’un Gvnt normal œuvrant pour le bien de la société
Exact, comme le gouvernement de la France Libre ne s’était pas attribué le rôle.
Les criconstances dictent la mission.
Vous mentez effrontément en affirmant qu’Israël occupe Gaza.
Ah bon ? Tous les leviers de controle de l’avenir du territoire étaient au main d’Israel.
Mais je vais laisser les sources faire le travail pour moi :
Territoires palestiniens occupés — Wikipédia (wikipedia.org)
En septembre 2005, Israël se retire unilatéralement de la bande de Gaza, ce qui est reconnu par la cour suprême israélienne comme étant la fin de l’occupation32. Les territoires sont occupés selon les résolutions votés à l’Assemblée générale et le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Union européenne, ainsi que selon l’avis consultatif de la Cour internationale de justice concernant le tracé de la barrière de séparation. Bien que considérant ces territoires comme occupés, la diplomatie française les désigne parfois sous l’appellation « Territoires palestiniens »34. Le caractère légal de l’occupation est contesté et discuté par certains juristes spécialistes de droit international, notamment des juristes des pays anglo-saxons35.