@SilentArrow

Mais, généralement, les gens sont sous influence et leur « bon sens » est mis de côté.

Parce que, en effet, chaque année, je dis bien chaque année, il y a des épidémies de grippe (ou de covid19, c’est exactement pareil).

Chaque année, vers le mi-octobre, se met en place une campagne monumentale de « vaccination » contre la grippe. Et qui se précipite pour recevoir ce « vaccin » protecteur ? Toujours les mêmes : les personnes âgées. Et qui meure chaque année, je dis bien chaque année, majoritairement de la grippe ? Les personnes âgées. 

Il n’existe aucune preuve « scientifique » que ces vaccins utilisés chaque année protègent quelqu’un de quelque chose. Le simple « bon sens » nous le montre. Mais il semblerait que ce simple « bon sens » ait disparu des esprits des personnes victimes d’une manipulation gigantesque et d’une publicité honteuse sur des vaccins qui seraient supposés prémunir les personnes âgées des infections respiratoires en automne-hiver. C’est une grosse blague.

Ceux qui développent une grippe, et qui en meurent, sont ceux qui présentent une faiblesse immunitaire dans leurs voies respiratoires. Et de très nombreuses études scientifiques montrent très précisément que les diabétiques, les hypertendus, les obèses et les personnes en surpoids, les hyperinsulinémiques, présentent une dégradation très visible de leur système de défense des voies respiratoires.

Par exemple, une étude de décembre 2023 : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10755599/

Une communication plus « grand public », qui indique que les diabétiques portent un risque 4 fois plus élevé de développer une maladie respiratoire que les non diabétiques (et, évidemment, les pré-diabétiques ne sont pas cités, ni les hyperglycémiques, ni les personnes faisant des « excursions » glycémiques« , ni les hyperinsulinémiques).
https://www.objectifpreventionsante.fr/maladies-chroniques/diabete-et-infections-respiratoires

Et lorsqu’on lit une étude comme la suivante (année 1996) faut-il »s’étonner« de voir les personnes âgées mourrir d’une infection respiratoire lorsque le taux des matières gazeuses et particulaires atmosphériques est grandement augmenté ?

... » Le poumon n’est pas considéré comme un organe cible du diabète sucré. Dans la littérature de langue anglaise, de nombreux articles montrent le contraire. De nombreuses études ont démontré une lame basale épithéliale alvéolaire et capillaire pulmonaire épaissie et une élasticité pulmonaire réduite, d’autres ont montré que ces altérations histopathologiques se sont transformées en anomalies fonctionnelles : réduction des volumes pulmonaires, réduction de la capacité de diffusion pulmonaire et recul élastique. On pense actuellement que la pathogenèse implique la glycosylation non enzymatique (NEG) de protéines tissulaires induisant une altération du tissu conjonctif. Chez les patients atteints de neuropathie autonome diabétique, il existe un tonus basal anormal des voies respiratoires dû à une altération des voies vagales : ces patients présentent une réactivité bronchique et une bronchodilatation réduites. Les patients diabétiques ont une propension accrue à contracter des infections, en particulier la tuberculose et les maladies fongiques pulmonaires (coccidioïdomycose, aspergillose et mucormycose). La fréquence d’apparition de la tuberculose serait quatre fois supérieure à celle des non diabétiques, il existe une prédilection pour les lobes inférieurs et la maladie est plus agressive dans les cas de diabète sucré mal contrôlé. La mucormycose pulmonaire est une infection causée par des Phycomycètes, le champignon a la propension à envahir les structures vasculaires provoquant une hémoptysie et entraînant une mortalité élevée à moins d’être diagnostiqué rapidement. Le mécanisme de la susceptibilité accrue à l’infection est dû à une altération de l’activité chimiotactique, phagocytaire et bactéricide des leucocytes polymorphonucléaires.« ...

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9102705/

Mais chacun en tirera ses propres conclusions. Ce qui est »certain" c’est qu’aucun vaccin au monde ne peut renforcer le système immunitaire dans les voies respiratoires. En revanche, quelques molécules, bien ciblées, pourraient faire la différence et apporter une protection supplémentaire.