Commentaire de Jean Keim
sur Le paille-en-queue, la croix et le Saint Esprit
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Au fur et à mesure qu’une religion s’empare d’un message originel, le développe l’organise et le dénature, le religieux est étouffé ; pour finir la religion s’acoquine avec le pouvoir séculier afin de justifier le monde tel qu’il est ; ce qui compromettra cette collaboration est que l’un des partis inéluctablement voudra dominer l’autre.
Le bilan dans tous les cas est simple, pour les élites le confort est ici-bas, pour la plèbe ce sera promis juré dans l’au-delà, entre les deux il y a les bourgeois compromissoires et velléitaires.
Derniers commentaires
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17/10 05:54 - Enki
@LeMerou Ce sera un article, peut-être même en deux parties. Mais pas avant la fin de la (...)
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16/10 11:43 - xana
Non, ce n’est pas un sujet intéressant. C’est juste pour se payer la fiole des (...)
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16/10 09:55 - Luc-Laurent Salvador
@Soucougnan Comparaison n’est pas raison. Mais bon, c’est de bonne guerre. A une (...)
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15/10 20:48 - Soucougnan
@Luc-Laurent Salvador vos salades restent non seulement des salades mais vos salades. Ça (...)
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15/10 20:09 - Luc-Laurent Salvador
@Soucougnan Oui, oui, nous sommes d’accord, vos salades restent non seulement des (...)
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15/10 18:38 - Soucougnan
@Luc-Laurent Salvador ce sens très sûr qu’est la douleur est un sens informatif sur (...)
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