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L’ÉTAT PROFOND FRANÇAIS ENCLENCHE SA DÉRIVE TOTALITAIRE | CLAUDE JANVIER | LA MATINALE GPTV
Un nouvel arrêté pour annoncer une nouvelle direction au sein de la Direction Générale de la Mondialisation (DGM), au Quai d’Orsay, marque un tournant pour la souveraineté française. Cet organisme, placé au cœur du ministère, permet à des technocrates non-élus de prendre des décisions stratégiques sur des sujets sensibles comme la recherche sur les nanotechnologies, sans aucun contrôle public. Un véritable transfert de pouvoir au profit de l’État profond.
Mais l’influence de cette technocratie va bien au-delà. Récemment, la Commission européenne a imposé des taxes antidumping sur les véhicules électriques chinois pour freiner l’influence asiatique. En réponse, Pékin a augmenté les taxes sur les eaux-de-vie européennes, frappant directement le cognac français. Un secteur clé de l’économie hexagonale est ainsi pris en otage. Pourtant, les industriels européens n’avaient pas été consultés et beaucoup s’opposaient à cette décision, craignant une guerre économique. Une fois de plus, la volonté de Bruxelles s’impose, au détriment des intérêts nationaux.
En parallèle, le MICAS, un système de surveillance administrative qui permet de restreindre les déplacements et d’assigner à résidence des individus, revient au premier plan. Reposant sur des notes blanches anonymes, il rend impossible pour les concernés de connaître l’origine des accusations. Une opacité qui met en péril les libertés fondamentales et rappelle les dérives de la délation d’un autre temps. D’abord mis en place temporairement, le MICAS devient un outil permanent, permettant à l’État de cibler les citoyens tout en épargnant les individus sous le coup d’une OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français).