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Commentaire de ddacoudre

sur L'Humanisme, c'est se dépasser


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ddacoudre ddacoudre 16 octobre 2024 08:41

@Réflexions du Miroir
bonjour
j’ai traité ce sujet dans le cadre d’une vision holistique du monde, suivant une approche de Robert May sur la limite de régulation de la population en fonction de l’espace et de la nourriture disponible. il a fait cela sur une population de poisson dans un étang. j’ai transposé cela à la planète. à la suite d’une étude que j’ai faite en 2000 sur le renouvellement des population dans les pays riches occidentaux. aucun ne renouvelait leur population, ce qui est toujours le cas. et l’augmentation de leur population est du à l’immigration.les raison invoqué le plus souvent étaient que les famille considéraient que l’avenir n’était pas encourageant pour assurer le devenir des enfants et que le confort donc il bénéficiaient serait limité par un excès de naissances à l’âge où la vie est le plus agréable pour en profiter.
au delà de cela, à l’heure actuelle dans les circonstance économique qui sont les nôtres les statisticiens considèrent que le plafond de la population mondiale se maintiendra autour de 12 milliards. je pense qu’ils se sont livrés qu’a un calcul mathématique.
en fait de l’ensemble des évolutions encours la technologie réduit les emploi, de la même manière le discours sur les charges, qui ne sont que le cout de l’existence humaine, également la recherche d’économie qui est un fond inné des comportements de tout le vivant, obtenir son désir en dépensant le moins d’énergie. cela fait que lorsque les citoyens âgé de l’après guerre auront disparus, nous n’aurions pas assez de main d’œuvre pour maintenir une activité de croissance comme aujourd’hui sur la consommation et nous aurions une perte de consommation en contre partie. depuis 1850 les activité primaires et secondaire tournent autour de 20% des travailleurs le reste est service marchand et non marchand. cela offre la perspective de pouvoir remplacer l’humain au travail et retrouver une situation Édénique. ce pose alors la source de revenu pour consommer. cette évolution impose d’apprendre en permanence pour maintenir cette évolution en l’état et de rémunérer cet enseignement. c’est ce que j’appelle l’économie de la connaissance. mais ce n’est qu’une vision ressortant de l’organisation du travail contemporain. le réchauffement climatique bouleverse la donne pour se préserver des changements qui vont s’opérer, tant pour la nourriture, tant pour la culture des sols, tant pour l’évacuation du déversement des pluies, tant pour l’évacuation des populations côtières, tant pour la recherche de productions renouvelables, il n’y aurait pas assez de main d’œuvre au monde. mais l’on ne peut pas confier cela à l’organisation capitaliste actuelle qui fait payer absolument tout aux salariés quand ils deviennent des clients, car alors ils ne leur resterait plus un sou pour vivre.. certainement que ce changement se fera lentement, mais nous ne pourrons pas l’inverser.Les réserves de pétrole nous les épuiserons, et ce n’est pas en taxant les pets des vaches que nous trouverons des fonds. il y a donc un choix de société à faire pour trouver des financements qui ne retombent pas dans la poche des capitalistes, car les sommes nécessaires sont colossales et dépassent ce que nous avons l’habitude gérer. Mais comme à l’accoutumé ce ne sera pas les populations qui le feront. mais la survenance de drames. l’ensemble majoritaire des population sont devenues égoïstes, et ne se prêtent pas au-delà de leur intérêt immédiat. nous savons que c’était l’axiome d’Adam Simth et la pollution planétaire lui à donné tors, l’on ne peut vaquer à son intérêt dans une collectivité mondiale interdépendante, sans tenir compte de celle-ci car nous le vivons l’intérêt individuel est aveugle et sourd.
voilà de quoi réfléchir,


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