@La Bête du Gévaudan
Bonjour. J’ai beaucoup apprécié vos commentaires qui ne sont pas des attaques ad hominem, comme c’est bien souvent le cas. Ils sont solidement argumentés et agréables à lire. Cela me réconforte de constater qu’il y a encore une poignée de lecteurs qui n’ont pas perdu leur bon sens. C’est également le cas de Boaz et de Corcovado. Nous sommes en minorité, c’est vrai, mais cela ne signifie absolument pas que la majorité a raison, bien au contraire.
En rédigeant cette tribune, je voulais rappeler que l’émergence du nationalisme palestien avait un point commun avec l’idéologie nazie : la haine du juif. L’histoire du grand mufti de Jérusalem, figure emblématique et controversée du nationalisme palestinien, illustre parfaitement ce fait qui est pourtant largement documenté et connu. Mais certains préfèrent faire la sourde oreille devant l’évidence... « Il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre ».
Effectivement, il n’y a aucun génocide en cours en Palestine. Israël mène une guerre contre le Hamas et le Hezbollah, après avoir été frappé par le pogrom du 7 octobre 2023. L’Etat d’Israël a le droit de vivre et de se défendre contre ses ennemis. Le droit de vivre debout et de ne pas courber l’échine face l’idéologie mortifère de l’islamisme. Dans tout conflit armé, il y a des pertes humaines civiles. C’est la triste réalité de la guerre. Personne ne peut se réjouir de la mort d’innocents. Ce n’est pas Israël qui est responsable de ces pertes humaines civiles mais, comme vous le soulignez très justement, c’est le Hamas.
En 1947, l’ONU a proposé un plan de partage de la Palestine. Il n’a pas été refusé par les juifs mais par les Arabes. Ils ne supportaient pas l’idée que le peuple juif, revenu sur ses terres ancestrales, puisse disposer d’un Etat leur assurant une unité et une sécurité.