@Lynwec

Le grand mufti de Jérusalem est l’un des pères du nationalisme palestinien. Il est important, à mon avis, de connaître les raisons profondes de la naissance de cette idéologie qui, de nos jours, prône toujours l’extermination du peuple juif. Ce serait-ce qu’un « détail de l’histoire » pour vous ?

Je vous invite à vous rendre en Israël et de constater qu’il n’y a aucun « apartheid ». Vous verrez très souvent des équipages de police composés de juifs, de druzes, de musulmans et de chrétiens. Même situation dans toutes les administrations du pays.Il n’y a pas de bus, de toilettes ou de restaurants, entre autres, qui sont interdits à ceux qui ne sont pas juifs. Dans les universités israéliennes, il y a de nombreux étudiants arabes qui sont très heureux d’avoir la chance de poursuivre des études supérieures dans d’excellentes conditions. Où est l’« apartheid » ? 

Vous évoquez le « vol historique de leur pays ». Mais la Palestine n’a jamais été un pays. C’était le nom donné par les Romains, au IIe siècle, aux juifs qui vivaient dans cette région. De plus, c’était la terre ancestrale du peuple juif qui en a été chassé par les musulmans à partir du VIIIe siècle. 

En 1947, l’ONU a établi un plan de partage de la Palestine entre les juifs et les Arabes. Qui a refusé ce partage ? Ce sont les Arabes car ils ne supportaient pas l’idée que les juifs puissent vivre dans un pays qui pouvait reforcer leur unité et leur sécurité. En moins de 80 ans, Israël est devenu un pays moderne et à la pointe de la recherche médicale et technologique, entre autres. A leur arrivée, il n’y avait rien. Ils ont trouvé une terre de désolation. Je vous invite à regarder en direction des pays voisins d’Israël. Aucun d’entre eux n’est arrivé au niveau de développement et de progrès de l’Etat d’Israël. Pour quelle raison ?