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Commentaire de Giuseppe di Bella di Santa Sofia

sur Les ombres du passé : Mohammed Amin al-Husseini, nationalisme palestinien, antisémitisme et nazisme


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Giuseppe di Bella di Santa Sofia Giuseppe di Bella di Santa Sofia 19 octobre 2024 09:51

@Hervé Hum

Je vous ai fourni le lien d’une source sérieuse ! Bien entendu, cela ne vous convient pas. Je ne vais pas inventer des sources qui affirment que le grand mufti de Jérusalem était un saint homme car elles n’existent pas. Je vous rappelle que les Alliés prévoyaient de le faire comparaître devant la justice internationale, tout comme les hauts dignitaires nazis, pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Ce qui n’a pas été possible car, fidèle à son habitude, il a fui dans un pays arabe pour ne pas devoir répondre de ses actes. 

Si vous souhaitez avoir des informations sur le grand mufti de Jérusalem et ses nombreux crimes, il suffit de faire une simple recherche sur Google. Vous y trouverez des centaines de liens utiles. 

Je vais être clair : je n’ai aucune sympathie pour Benjamin Netanyathu. Je l’ai déjà indiqué à plusieurs reprises. De plus, je suis favorable à la création d’un Etat palestinien indépendant mais totalement débarassé de l’organisation terroriste islamiste qu’est le Hamas. En 1947, l’ONU avait établi un plan de partage de la Palestine et prévu la création de deux Etats distincts. Mais les Arabes ont refusé ce plan de partage. Ils ne pouvaient pas accepter que des juifs puissent vivre paisiblement dans un pays qui pouvait leur apporter sécurité et prospérité. Les juifs ont accepté le plan de partage de l’ONU de 1947. 

J’ai été un ami proche et le conseiller de feu S.M. le roi Norodom Sihanouk du Cambodge. Je sais ce qu’est un génocide. Entre 1975 et 1979, plus de 2 millions de Cambodgiens ont été sauvagement assassinés par le régime des Khmers rouges, soit 25% de la population totale. Ce génocide s’est déroulé sous les yeux de la communauté internationale qui a préféré les fermer et de ne pas agir, comme ce fut le cas dans les années 1990 au Rwanda et au Burundi. 

Aucun génocide n’a été commis par les Israéliens dans la bande de Gaza, totalement sous le contrôle des terroristes islamistes du Hamas depuis 2007. En 1950, il y avait 200 000 Gazaouis. Aujourd’hui, il y en a 2 200 000. La thèse du génocide ne peut qu’être écartée.

L’Etat d’Isrël a le droit de vivre et de défendre ses citoyens. Il est en guerre contre le terrorisme islamiste du Hamas. Dans chaque guerre, il y a des pertes civiles. C’est inévitable. 

La guerre civile au Yémen, qui est toujours en cours, a fait près de 400 000 victimes civiles. Personne ne semble s’en émouvoir. Pourquoi ? La raison est simple : Israël n’a aucune responsabilité dans ce conflit. Il s’agit d’une guerre entre musulmans. Et personne ne voit le génocide là où il existe vraiment...


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