@Enki
« le vrai portrait de de Gaulle, le nazi inavoué, qui a tant fait de mal au pays... »
Inavoué ? Peut-être pas autant que vous le croyez...
Suivons-le au
tout début du mois d’août 1942, à Londres, en présence de son
officier d’ordonnance, Claude Bouchinet-Serreulles, qui serait le
tout dernier adjoint de Jean Moulin en juin 1943. Comme son interlocuteur s’inquiète de voir les démocraties en si
mauvaise posture et d’imaginer l’effet que pourrait avoir la
publication de tels propos, il a la terrible surprise d’entendre De
Gaulle déclarer ceci :
«
Mais je marcherai avec
Hitler. S’il est prouvé que la France
[lui-même ?] ne gagne
rien à continuer la guerre avec les Alliés, qu’au contraire elle
[lui-même encore ?] perd
tout, eh bien ! La France renversera sa politique et gagnera la
guerre avec Hitler ! J’ai toujours dit qu’il n’y avait que deux
politiques : celle de Déat et la mienne ; si la mienne
échoue, je me rallie à Déat. Il n’y a qu’un guide valable à toute
politique, c’est l’intérêt national
[celui de De Gaulle ?]. L’intérêt
national devient-il de marcher avec Hitler ? Alors vous
verrez ce que deviendront les démocraties, elles ne feront pas long
feu ! » (Claude Bouchinet-Serreulles, Nous étions faits pour être libres, Grasset 2000, pages 224-228.)
Eh oui, il avait également compté parmi les admirateurs de Déat ! Et il l’avait écrit...Par ailleurs, lisez donc, dans ses Mémoires de guerre, l’hommage vibrant qu’il y rend à Laval !...
Pour le Christ, je vous recommande vivement de vous intéresser à (saint)-Paul et à ses écrits., et de façon plus générale à (saint-)Augustin (La Cité de Dieu).
Il me semble que vous vous avancez très imprudemment sur des terrains que vous ne connaissez pas du tout. Quel lecteur êtes vous ?...