« Tout changer pour que rien ne change ».C’est
devenu un rite de passage, tourner en ridicule un responsable avec lequel on a
eu bien des indulgences voire plus quand, en obsolescence programmée, il devient
gênant afin de mieux accompagner la nouvelle comédie qui tente de se mettre en
place →
« Aussi longtemps que Macron s’accrochera à son trône, un intense exercice
d’éducation populaire continuera »
https://melenchon.fr/2024/10/09/la-farce-des-droites-parlementaires
Ne vous
privez pas de lire ce qu’un responsable politique est encore capable de dire et
d’écrire en 2024 sans céder sur la
rigueur de l’analyse et la précision des faits. La réalité des choses étant
qu’il y a dans le pays des millions de citoyens partageant ce point de vue et
cette approche de la politique et de la vie citoyenne. Que l’essentiel des
médias contrôlé par l’oligarchie et son personnel et ses obligés qui tiennent
le pays, travaille à invisibiliser et intimider. C’est un combat de longue
haleine que le pouvoir médiatico-politique redoute maintenant de perdre. Qui ne
voit pas à l’œuvre l’intense et laborieux travail pour
masquer : La sortie de route démocratique que l’on nous impose comme une sorte de nouveau confinement (tous
solidaires ?). Les origines et causes
du bilan politique que nous subissons. Qui en est responsable. Qui a
joué (et continue de jouer) le rôle de faux opposant afin que la comédie puisse
avoir lieu. Acculé finalement au rôle de girouette. Après le contournement du référendum
de 2005, l’entrée dans le commandement intégré de l’OTAN, qui sont les
prémisses de la situation actuelle, où
nous emmène-t-on, étape après étape ?
Feuille de
route. La démocratie citoyenne, la justice sociale, la responsabilité
écologique. Les citoyens auront le dernier mot s’ils le veulent :
Programme alternatif de société (une réponse économique jugée pertinente et
cohérente par des centaines d’économistes et une prix Nobel).De nouvelles
institutions. Une démocratie citoyenne en lieu et place d’un pouvoir
oligarchique et toutes ses composantes dont le pouvoir médiatico-politique est
la clef de voûte. Il y a urgence en raison des technologies de communication et
surveillance en expansion qu’il va falloir à tout prix réguler et contrôler
quand certains nous promettent de privatiser encore plus.