Le monde de la recherche est vérollé de toute part.
En france le système de recherche est déjà bien mafieux : par exemple les bourse de thèse sont prise à 99,99999% du temps par les mm labo , tjs les mm , tjs dans les jury.TT le monde le sait, personne ne dit rien.
Imaginer au niveau internationnal !!!!
Pour publier, on choisi ,à impact factor proche (l’impact factor correspond en gros à la notoriété : ex la nouvelle république /new york times), le journal en fonction de l’editorial board qui le compose. Si un copain en fait partie on a plus de chance de passer.La société est comme ça : ça s’appelle le piston !
Par ailleurs, quand on est reviewer ce sont des « biologistes »(biomol, biocell..) Pour ce qui est technique et théorique les gens sont OK.. et encore pourquoi ne publi e-t-on jamais l’ensemble des controles ? D’autant plus,qu’avec les techniques actuelle on peut créer des résulats comme on veux.(ex puce à ADN, Immunomarquage)
Par contre coté statistique, du moment qu’il y ait test « t » ou « annova », les referees sont ravi !!!
A la décharge des reviewer, je dirait qu’il sont tellement submerger de travail qu’ils n’ont pas le temps de vraiment décortiquer un article. Par ailleurs en bio, il y a tellement d’article qui sorte que ça devient du n’importe quoi !Celà devient impossible à suivre.
Je pense qu’il va falloir revoir peut-être cette histoire d’impact factor. Peut-être que les reviewer devrait être des professionnels. Pendant 2 ans par exemple, un reviewer est payé qu’à reviewer des articles.