Le « Diable » (dé)pose Un et retiens D(i)eux…
S’ajoutant à la plénitude du 10, qui symbolise un cycle complet, le 11 est le signe de l’excès, de la démesure, du débordement, dans quelque ordre que ce soit ; ce nombre annonce un conflit virtuel. C’est en ce sens que Saint Augustin pourra dire que « le nombre 11 est l’armoirie du péché ». Son action perturbatrice peut être conçue comme un dédoublement hypertrophique et déséquilibrant d’un des éléments constructifs de l’Univers…
Ce caractère est confirmé par le procédé de l’addition théosophique qui, en faisant le total des deux chiffres le composants, donne le résultat 2, c’est-à-dire le nombre néfaste de la lutte et de l’opposition.
11 serait alors le symbole de la rébellion, de la transgression de la loi, du péché humain… de la révolte des anges.
NB : Le 11 septembre 1990, le président américain George Bush (père), lors d’un discours prononcé devant le Congrès, disait : « Nous nous trouvons aujourd’hui à un moment exceptionnel et extraordinaire. La crise dans le golfe Persique, malgré sa gravité, offre une occasion rare pour s’orienter vers une période historique de coopération. De cette période difficile, notre cinquième objectif, un nouvel ordre mondial, peut voir le jour : une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de la justice et plus sûre dans la quête de la paix. »
Aussi, constatons que, 11 ans plus tard, jour pour jour, avec Georges Bush « junior », loin d’être une ère de paix, c’est une ère de guerre qui s’était ouverte ; loin d’être le triomphe de la justice, on voyait déjà l’injustice régner partout. Cela ne doit pas nous étonner : la capacité à mentir est l’une des « qualités » requises par l’oligarchie dans le choix de ses « marionnettes »... à l’Ouest comme à l’Est.
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