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Commentaire de Gérard Luçon

sur Cette vague trumpiste qui ne cesse de monter


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Gérard Luçon Gérard Luçon 17 novembre 05:04

Voici un commentaire du Général Delawarde :

"Ce vote populaire fait apparaître deux incohérences majeures par rapport au vote de 2020.

La première porte sur le nombre total d’électeurs. Alors que le vote de cette année représentait un enjeu extrêmement important, et que la population, donc le nombre d’électeurs US, avait augmenté sensiblement, le nombre total de suffrages exprimés aurait baissé de plus de 6 millions en 2024 (158,43 millions en 2020 contre 152,2 en 2024) ???.

- La seconde incohérence porte sur le nombre de voix démocrates qui baisse de plus de 8 millions en 4 ans. (81,29 millions en 2020 ; 73,2 en 2024) Qui peut croire une seule minute que c’est le charisme d’un vieillard déjà sénile il y a quatre ans, qui puisse expliquer ces 8 millions de voix de plus en 2020 par rapport à 2024 ? Qui peut croire une seule minute que Biden ait pu, en 2020, sur sa seule bonne mine, augmenter le score d’Hillary Clinton de 2016, et celui d’Obama de 2012 de 15 millions de voix et celui d’Obama de 2008 de 11 millions de voix, battant ainsi le record de tous les temps pour un président élu ?

Le score 2024 des démocrates est donc très révélateur, à posteriori, sur l’élection de 2020. Il se serait donc incontestablement passé quelque chose d’énorme, de peu plausible et d’incohérent pour le score démocrate de 2020 qui ne peut être expliqué, avec le recul, que par une fraude électorale massive dans certains États pivots, fraude liée notamment au vote par correspondance.

En 2024, le score des démocrates semble d’ailleurs retrouver une cohérence avec les scores démocrates des élections de 2008, 2012, 1016. C’est donc bien le score énorme des démocrates en 2020 qui posait question. La réponse apparaît clairement en 2024. On m’objectera que les démocrates auraient pu renouveler en 2024 leur brillante opération de 2020. L’État profond a probablement du y renoncer en raison des conséquences prévisibles et du risque de guerre civile. Le scrutin de 2024 a été beaucoup plus surveillé que celui de 2020 qui s’est déroulé en pleine période Covid. Le vote par correspondance a été très inférieur en 2024 comparé à celui de 2020. Autant de difficultés nouvelles à surmonter pour organiser la fraude"


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