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Commentaire de Fanny

sur Quand les Galeries Lafayette exposaient en vitrine des femmes en sous-vêtements


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Fanny 19 novembre 11:40

@Fergus
Au pire à exciter quelques ados et refoulés.

Pas beaucoup de femelles sur l’Ukraine, alors je viens voir par ici.

Il est question sexe, alors le beau est là (boéla).

Mais c’est encore plus compliqué que l’Ukraine, ces questions féministes, ce qu’elles approuvent et rejettent. Le Dr Freud avait raison : mais que veulent-elles ?

La gestion et la police du désir masculin, c’est le sujet : Au pire à exciter quelques ados et refoulés.

Quand c’est qu’on a le droit d’avoir envie, quand c’est que c’est pas bien, déplacé, antisocial, anticapitaliste.

Les filles dans les vitrines, d’un côté c’est super, moderne, libéré, bon pour le commerce et à la fois faut pas les désirer, hein. C’est pas fait pour ça, juste pour vendre. On est ici en économie capitaliste, pas en économie du désir, faut pas confondre, chaque chose à sa place.

Ces vitrines, c’était parfait quand j’allais aux putes quelques rues plus loin : une mise en bouche, un apéro.

Aller, je m’en vais, je retourne sur l’Ukraine, je m’y sens plus à l’aise, plus compétent. La guerre, la mort, c’est plus excitant que le sexe, que la vie. Laissons ça au beau sexe.


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