• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de L’apostilleur

sur LA BIBLE : LE MALAISE théologico-politique - ( Partie I )


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

L'apostilleur L’apostilleur 21 novembre 10:36

@Gollum
Vous trouverez des périodes et des lieux d’accueil de la pensée grecque comme Gouguenheim avec son
Aristote au Mont Saint-Michel, une transmission avant Cordoue. Pressé par des historiens il a reconnu des imperfections dans son livre. 
On retiendra de ces péripéties que si transmission il y avait elle était confidentielle. Oubliée pendant huit siècles et plus après l’effondrement de Rome, la rediffusion passera par les circuits chrétiens de la connaissance, notamment en France à Paris avec Thomas d’Acquin au début du XIIIe s. avec la foi et la raison indispensablement liées.
Gouguenheim parlait de la connaturalité de la culture grecque et de la culture chrétienne. Les premiers chrétiens s’étaient déjà frottés à cette nécessité du raisonnement au contact des grecs sceptiques
Comment au Moyen-Age aurait-on pu imprégner l’Occident des savoirs grecs autrement que par l’enseignement diffusé exclusivement par les chrétiens ? Charlemagne les avait déjà encouragé.
Pour mesurer l’importance de cette influence sur la société chrétienne, on pourra la comparer à celle des juifs et des musulmans sur leurs adeptes.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès