Bonjour Olivier
Il faut dire que depuis quelques temps, la variété des accompagnements des pas de
« danse » jouées par les orchestres aRmateurs internationaux, sont exécutés à un rythme effréné, sur le tempo de la peur !
Souvenez vous de ces bals masqués, où sur le « ban » des pré-tendus, les seuls partenaires, étaient les seringues, à inviter, pour un pas de danse macabre .....
Rappelez vous ces guinguettes nocturnes, illuminées aux torches des poubelles brûlots, et aux feux des artificiers aux LBD....Sur le dress code jaune !
Et cette réminiscence, d’un bal populaire, avorté par dissolution des billets d’entrée, largement pré-vendus, et invalidés par les pas d’un tango rétro-gradé, pour un retour violent, à la valse à mi temps...
Plus fort encore, cette manie de jouer du marteau sans manche, sur un piano à queue, à un seul « dito », venu d’un pays, que nous avons soutenu pour son effort à applaudir de ses mains libres, tout les tempo des silences, et des non dits, sur une seule portée, à une seule ligne musicale...Avec aniCROCHE !
Oui, Olivier, nous dansons, nous dansons, comme le serpent halluciné par la flûte du charmeur et le mouvement de ses genoux, le venin en berne, les crochets limés, en espérant juste quelques piécettes, à faire les beaux, sur cette piste de danse mondialisée, privatisée, et ...climatisée .