M’aurait étonné que notre prolifique auteur ne se joigne pas à la clique des pleureuses mais, à son crédit car il faut rendre à César ce qui appartient à Jules, au moins lui ne censure pas, ni même répond aux questions d’ailleurs, mais ça fait partie du personnage, comme ses moultes illustrations et on s’y fait.

Bien que la répétition n’enseigne que l’âne, par paresse bis repetita d’un commentaire sur un autre article traitant le même sujet :

Juste quelques mots histoire de tester l’effaceur et révéler que les nazis allemands, il faut préciser dorénavant, n’ont rien inventé, ils se sont contentés de faire à certaines populations européennes, ce que d’autres européens ont fait sans distinction aux non européens des 4 coins de la planète et, aussi criminel que cela paraisse, continuent encore de nos jours au XXI siècle en Palestine et cela s’appelle le colonialisme.

Démonstration est donc faite, comme l’a pertinemment souligné le regretté Aimé Césaire, que c’est surtout cela que lesdits indécrottables suprémacistes reprochent à Hitler & Co. et non les méthodes !

Or c’est parce qu’il s’assoie sur cette vérité aussi douloureuse qu’historique, donc sur les souffrances et le martyr de son propre Peuple, ce que les lois algériennes punissent lourdement, que le ci-devant B. Sansal, en tant que prétendu algérien, a des comptes a rendre et, n’en déplaise aux habituels donneurs de leçons jamais appliquées a eux même, du genre faites ce que je dis et non ce que je fais, cela ne regarde que les algériens et eux seuls.

Dernière précision, n’engageant que votre contradicteur, relative à ma connaissance de la mentalité algérienne,(44 ans de côtoiement BTP) plus les « algerophobes » et autres « nostalgériques » de l’ex colonisateur feront leur cinéma,(programmé ?) plus ils convaincront les juges algériens de la gravité des actes dudit prévenu et moins ils lui rendront service.

C’est aussi à cela que se mesurera la sincérité de leur solidarité, ou la confirmation d’une « psyops » au moyen d’un proxy-pantin, or vu le raffut orchestré c’est mal barré pour ce pauvre bougre, mais il faut bien renvoyer l’ascenseur pour les largesses obtenues et à venir, quand on n’est qu’un écrivaillon, n’est pas Hugo ou Zola qui veut. . .