Boualem Sansal sera jugé en Algérie pour des faits graves suivant la législation algérienne. Il le sera en
tant que ressortissant algérien, attendu que la loi algérienne
s’applique à cet individu, quand bien même il détiendrait la nationalité
française et, contrairement à ce que certains ont pu lui raconter, aucune force au monde ne pourra l’empêcher.
Ses mentors, croyant probablement que ladite naturalisation allait le prémunir de
toute poursuite dans son pays d’origine, la lui ont récemment octroyé dans la
perspective, sans doute, planifiée d’une escalade dans les manœuvres hostiles visant, une fois de plus, l’indomptable nation aux millions de martyrs.
La « Macronnie » a fait preuve d’une inimitié sans précédent
envers l’Algérie, bien avant sa décision unilatérale, illégale du reste,
de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental.
En outre, violant grossièrement sa souveraineté, la page de l’exfiltration par les services français de l’agent
franco-algérienne Amira Bouraoui, n’a pas été tournée par l’Algérie, loin s’en faut.
Les autorités algériennes attendaient donc les dirigeants français au
tournant, et l’occasion vient de se présenter avec l’arrestation d’une
taupe au service de la France, d’Israël et du Maroc, se croyant non concerné, voire au dessus des lois de son pays, ce qui n’est pas nouveau chez cet étrange et présumé algérien. . .