Il n’est pas certain que ce que Platon considérait comme la lumière ne nous paraitrait pas aujourd’hui comme une autre lanterne magique.
Mais d’accord concernant l’illusion d’une certaine définition du PIB. La preuve il est allégué augmenter en ce moment, alors que l’activité productive décroit -ce qui explique le manque de rentrées fiscale de 100 ou 200 milliards ’’découvert’’ l’été dernier-.
L’emprunt est un artifice pour créer de la monnaie, mais tout le monde s’y retrouve à un moment ou à un autre, cela finance des effectifs publics surnuméraires, l’état providence au delà des cotisations, ou des investissements amortissables ou pas. Le préteur y gagne de percevoir des intérêts, mais l’emprunteur a bel et bien bénéficié d’un capital qu’il n’avait pas et en final du bien acheté. Dans nos pays tout le monde a désormais une bagnole, alors qu’il n’avait qu’un vélo il y a cent ans.