Pas sûr que la propriété du capital intéresse tout le monde. Sauf s’il était offert aux salariés sans contrepartie ni obligation.
Posséder c’est gérer, prévoir, décider...
Quel syndicat aurait revendiqué la propriété du capital pour ses syndiqués dans une entreprise ? Il se tirerait une balle dans le pied, ses syndiqués ne pourraient plus revendiquer du patron-capitaliste ce que le salarié-capitaliste ne voudrait plus lui donner. Ce syndicat deviendrait inutile. La « démocratie » n’est pas une valeur de l’entreprise, les SCOP étant un exemple intéressant qui ne peut pas être une généralité. Il ne doit pas y avoir beaucoup de syndicats dans les SCOP.
Picketty a raison de souligner l’inégalité des revenus du capital et du travail, mais la reflexion devrait porter sur le contrôle des excès - encadrement des marchés, législation et fiscalité, des contre-pouvoirs.
Une lutte contre le capital dans une entreprise n’a pas de sens, c’est aux politiques de gérer les excès comme l’Europe avec les GAFA.
La participation et l’intéressement n’intéressent ni nos politiques ni nos syndicats, c’est pourtant un excellent moyen de partager les bénéfices des entreprises.
30/11 10:57 - Panoramix
Faute de révolution illusoire, une meilleure répartition dans le système existant serait une (...)
30/11 10:00 - L’apostilleur
Pas sûr que la propriété du capital intéresse tout le monde. Sauf s’il était offert aux (...)
29/11 19:04 - LeMerou
Bonjour, « si la propriété du capital était répartie de façon rigoureusement égalitaire et si (...)
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