@Fergus
Bonjour et merci pour votre visite comme pour votre commentaire.
Pareils propos seraient surprenants mais sans doute favorablement accueillis surtout si l’intéressé déclarait ne pas vouloir briguer un autre mandat, que ce soit en France ou en Europe dans l’UE.
Encore faudrait-il aussi, pour en revenir à votre idée, que le nouveau Premier ministre et son gouvernement agissent en complète liberté, puissent déterminer et conduire une action gouvernementale dédiée au service exclusif de la souveraineté nationale et donc exempte de compromissions avec des intérêts contraires à ceux de la France.
Pareille politique exigerait une refonte complète des institutions comme de leur fonctionnement, ce qui supposerait un renouvellement complet du personnel politique comme de ses pratiques.
Comme le dit Vladimir Jankélévitch : « Devant ces constellations instables et toujours modifiées et qui, comme l’actualité elle-même, se font et se défont sans cesse, l’homme serait désarmé s’il n’avait le pouvoir de répondre à l’improviste. »
Voici une réponse guidée par l’urgence face à un changement de pouvoir qui devrait être perçu par toute une nation comme un acte scandaleusement pervers et malhonnête.
Un signal d’alarme, en réalité, car il est devenu nécessaire de réagir.
Mais n’ayons crainte ! La roue tourne et c’est assurément un Karma diabolique qui va abattre sa main sur ces nécromanciens de la politique qui ne connaissent rien à rien et entreprennent de naufrager le pays, la France et ses habitants.
Tous ces gens auxquels je prédis un destin funeste devraient songer à quitter la France tant qu’ils le peuvent encore, sauf à privilégier la perspective de prendre de longues vacances en Guyane ou au Kerguelen.
Les réels changements de pouvoir, en France, s’inscrivent toujours dans des convulsions pourtant prévisibles. Il est regrettable que cela ne soit pas compris tant qu’il en est encore temps.
N’importe qui de sensé qui se trouverait à la place de M. Macron comprendrait l’urgence comme la nécessité de se retirer tranquillement et posément tant que les circonstances le lui permettent.
Bien à vous,
Renaud Bouchard