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Commentaire de Julian Dalrimple-sikes

sur Se mettre en boule


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Julian Dalrimple-sikes Julian Dalrimple-sikes 8 décembre 2024 17:59

@C’est Nabum

le probleme c’est les autres, toujours les autres, pour tout le monde, sans les autres cette planète serait parfaite non ?

disais je.

ce qui est faux, bien sur, nous sommes le seul probleme à la base et dans ce nous notre psyché -cerveau que nous avons quasi intégralement démolie il y a longtemps que ce n’est même plus dans la mémoire..« je » la pensée en est l’épicentre dont moi ignore intégralement ce qu’il est sauf bla bla de surface pour parader avec soi meme et épater éventuellement...sur la terre peut être dans le système solaire voir la galaxie, voir les galaxies..
ce monde c’est nous sauf moi..8 milliards pensent cela..
il y a un pourquoi bien sur.
Si je pense global en terme de survie, alors je vais être coopératif et équitable, non pas par idéal , oh surtout pas mais par effets secondaires spontanés DIVIN, SI SI dus à un changement spontané instantané dans la psyché..c’est plus complexe bien sur, si je pense moi moi moi ( je a comme reference moi et ma mémoire, à la fois juge et partie donc) , devenu depuis des milliers d’années le cas de quasiment 100% sauf moi bien sur, alors si je suis compétitif et pour aussi une société verticale de valeur argent, je suis ce monde qui est un combat que « je » veux, tout en se la jouant pas moi..ce qui peut être juste ou pas
mais « je » ne le vois pas et si par hasard « je » le vois , je vais nier..
car l’horreur humaine est gigantesque ..

Jacques-Bénigne Bossuet

C’est une entreprise hardie que d’aller dire aux hommes qu’ils sont peu de chose. Chacun est jaloux de ce qu’il est, et on aime mieux être aveugle que de connaître son faible ; surtout les grandes fortunes veulent être traitées délicatement ; elles ne prennent pas plaisir qu’on remarque leur défaut : elles veulent que, si on le voit, du moins on le cache. Et toutefois, grâce à la mort, nous en pouvons parler avec liberté. Il n’est rien de si grand dans le monde qui ne reconnaisse en soi-même beaucoup de bassesse, à le considérer par cet endroit-là.


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