Rappelons pour mémoire que ce gouvernement pas encore constitué est le moins représentatif possible comme le précédent. Que le NFP avait proposé des solutions économiques approuvées par des centaines d’économistes et une prix Nobel et que dans l’adversité mais par un travail parlementaire rigoureux et continu, il a réussi à proposer un équilibre dépenses et recettes en en dégageant mêmes des supplémentaires. Le tout allègrement torpillé par la coalition des droites avec l’aide du RN. On a beau se disputer les places, pas touche aux intérêts des oligarques. Rappelons aussi qu’il est si simple et un peu normal quand même de s’en remettre à la démocratie quand on a failli et que l’on a été répudié après bien des avertissements. Pour mémoire, les soutiens à l’Assemblée du président doivent 35 de leurs mandats au cordon sanitaire de ceux qui ont sacrifié des mandats (39) pour empêcher l’accès au pouvoir du RN annoncé par tous les sondages et médias. Voilà la réalité politique du pays qui elle ne doit rien aux sondages et à leur magie. La réalité qui dérange nos faiseurs de sornettes qui ont beaucoup de travail décidément et qui se donnent bien du mal pour essayer de construire un nouveau récit sans y arriver. Trop c’est trop et tous les éditorialistes et chefferies médiatiques n’y peuvent plus rien. Il y a 3 pas décisifs à faire pour relancer la démocratie : censure, démission, élections. Nous les citoyens de ce pays, nous le valons bien comme disent les publicitaires. À nous de jouer dans les urnes pour ceux qui n’ont jamais changé de discours ni d’engagements une fois élus même quand le prix à payer a été élevé. Le tout sur fond bien sûr de médisances médiatiques tellement prévisibles qu’elles sont devenues comme le folklore malsain de ceux qui évitent de mettre en lumière les sujets de fond qui ne peuvent plus attendre. Une démocratie de citoyens respectés avec les moyens de l’être et des mandants tenus pour responsables. Un pilotage de l’économie au service de l’efficacité et de l’équité. Comme par exemple rappelons-le le budget mis au point par les parlementaires et renvoyé au sénat par la macronie et le RN afin de se donner un sursis faute de pouvoir expliquer clairement leurs solutions et de quel prix nous en paierons l’addition et surtout pourquoi.