Emmanuel Macron, président « jusqu’à la dernière seconde » de son mandat : il a eu raison de le rappeler
Dans un climat politique français de plus en plus tendu, les appels à la démission d'Emmanuel Macron se multiplient. Des figures de l'opposition, des mouvements sociaux et même certains membres de la société civile expriment leur mécontentement face à la gestion de la crise sociale et économique. Pourtant, malgré cette pression croissante, le président de la République est déterminé à rester en poste jusqu'à la fin de son mandat. Pourquoi cette obstination ? Quelles sont les raisons qui le poussent à ignorer ces appels et à maintenir le cap ?
Tout d'abord, il est essentiel de comprendre le cadre constitutionnel dans lequel Emmanuel Macron évolue. La Constitution de la Ve République, adoptée en 1958, confère au président de la République un pouvoir considérable. En effet, le président est élu pour un mandat de cinq ans, renouvelable une fois, et il n'existe pas de mécanisme formel qui l'oblige à démissionner en cours de mandat, sauf en cas de destitution. Cette dernière nécessite une procédure complexe, impliquant le Parlement et des conditions très strictes. Ainsi, tant que le président ne commet pas d'infraction grave, il est libre de poursuivre son mandat jusqu'à son terme. Cette solidité constitutionnelle offre à Emmanuel Macron une marge de manœuvre qui lui permet de rester en place malgré les turbulences politiques.
Ensuite, la position d'Emmanuel Macron est également renforcée par son statut de chef de l'État. En tant que président, il incarne l'autorité de l'État et est perçu comme le garant de la stabilité nationale. Dans un contexte où la France fait face à des défis majeurs, tels que les crises économiques, les tensions sociales et les enjeux internationaux, sa présence à la tête de l'État est souvent justifiée par la nécessité de maintenir une continuité dans la gouvernance. Les partisans de Macron soutiennent qu'une démission à ce stade pourrait plonger le pays dans une instabilité politique encore plus profonde, exacerbant les tensions déjà présentes dans la société française. Ainsi, le président se positionne comme un rempart contre le chaos, une image qui peut séduire une partie de l'électorat.
Par ailleurs, la stratégie politique d'Emmanuel Macron repose sur une vision à long terme. Le président a souvent affirmé sa volonté de réformer en profondeur le pays, et il est conscient que ces réformes nécessitent du temps et de la persévérance. En démissionnant, il risquerait de compromettre l'ensemble de son agenda politique, qui inclut des réformes économiques, sociales et environnementales. De plus, Macron a déjà fait face à des crises dans le passé, notamment le mouvement des Gilets jaunes, et il a su naviguer à travers ces tempêtes. Son expérience lui permet de croire qu'il peut surmonter les défis actuels et poursuivre ses objectifs. Cette détermination à mener à bien ses réformes pourrait être interprétée comme un signe de leadership fort, même si cela implique de rester au pouvoir malgré les critiques.
Il est également important de considérer le soutien dont bénéficie Emmanuel Macron au sein de son propre parti, Renaissance, ainsi que dans d'autres formations politiques. Bien que l'opposition soit vocale, Macron dispose encore d'une base de soutien significative, notamment parmi les députés et les élus locaux qui voient en lui un leader capable de porter des réformes nécessaires. Ce soutien institutionnel lui confère une légitimité qui le pousse à ignorer les appels à la démission. De plus, même si les élections législatives de 2024 n'ont pas permis à son parti de conserver une majorité relative, il pourra à nouveau dissoudre l'Assemblée nationale en juillet 2025 et ainsi espérer reforcer les rangs des députés des formations politiques qui le soutiennent.
Enfin, la dynamique des mouvements sociaux et des manifestations, bien qu'importante, ne semble pas suffire à ébranler la détermination de Macron. Les mouvements de contestation, tels que ceux liés à la réforme des retraites, ont certes mobilisé des millions de Français, mais ils n'ont pas réussi à créer une pression suffisamment forte pour forcer le président à quitter ses fonctions. Au contraire, Macron semble considérer ces mouvements comme une opportunité de renforcer sondiscours sur la nécessité de réformes, en les présentant comme des étapes nécessaires vers un avenir meilleur. Cette approche lui permet de se positionner comme un leader pragmatique, prêt à affronter les difficultés pour le bien de la nation et de l'ensemble des Français.
En somme, la volonté d'Emmanuel Macron de rester en fonction jusqu'à la fin de son mandat repose sur une combinaison de facteurs constitutionnels, politiques et stratégiques. Sa détermination à poursuivre ses réformes, son soutien institutionnel et sa perception du rôle présidentiel dans un contexte de crise lui donnent les raisons déterminantes de rester ferme face aux nombreux appels à la démission. Dans un paysage politique en constante évolution, le président est prêt à affronter les défis qui l'attendent, convaincu que son mandat est loin d'être terminé.
45 réactions à cet article
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Il n’aura jamais l’honneur et la grandeur de présenter sa démission au peuple français comme l’aurait fait un vrai homme d’état.
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@Astrolabe
Ce n’est pas une question d’honneur, à mon avis. Rien de l’oblige à démissionner. Il a été élu, à deux reprises, président de la République française. Sa légitimité instituionnelle ne peut pas être remise en cause.
François Hollande a certainement été le pire président de la Ve République. Comme c’est le cas aujourd’hui pour Emmanuel Macron, il a été « invité » à démissionner à de très nombreuses reprises, dès les premiers de son quinquennat. il ne l’a pas fait et il avait tout à fait raison.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Il n’est pas homme d’"état mais communiquant en chef.
Et bien sur il est légitime jusqu’au bout par mandat.
Néanmoins il a préféré faire tapis avec notre assemblée nationale comme l’aurait fait un addict au poker sous coke en croyant se refaire.
Il n’a donc pas perdu l’honneur car il n’en possède pas.
Il a juste ajouter de la division.
Dissoudre l’assemblée et démissionner et il aurait marqué l’Histoire.
Tel un mollusque il restera donc accroché à son poste et son palais de l’Élysée (un ancien bordel tripot entre la Révolution et l’Empire)Un communiquant continue de communiquer quand le bateau coule
un homme d’état remet ses mandats au peuple qui choisira in fine un autre capitaine. -
@Astrolabe
J’ai adhéré à LREM en novembre 2016, au moment ou personne n’aurait parié un centime sur sa chance d’être élu, et j’ai quitté ce mouvement politique en décembre 2022. Je suis un déçu du macronisme, tout comme je l’ai été par le PS auparavant.
Mais je respecte sa légitimité et je trouve que l’opposition — principalement LFI — qui ne cesse d’appeler à sa démission ou à sa destitution est totalement ridicule.
A vrai dire, je ne vois pas qui pourrait le remplacer et faire « moins pire » que lui. Vous avez une idée ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Pas seulement LFI mais bon nombre de RHaine aussi appellent à sa démission.
La Veme est en mort cérébrale et tant qu’il n’y aura pas un autre mode de fonctionnement démocratique vous avez raison, peu importe qui remplacera notre communiquant en chef. -
@Astrolabe
Je suis d’accord avec vous : la Ve République est à bout de souffle. Dans quelques mois, nous aurons certainement un nouveau Premier ministre car François Bayrou ne tiendra pas longtemps. Je pense que nous somme dans une véritable impasse. Qui a les épaules assez solides pour endosser le rôle de chef de l’Etat ? J’ai beau chercher et je ne trouve pas.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Qui pour remplacer Macron ? A peu près 90% de la population, en retirant les condamnés, les membres de partis politiques (qui restent) et les dentistes.
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@Hallo Bobo
Et pourquoi pas ? Par contre, pourquoi retirer les dentistes ? Vous avez une dent contre eux ?
Un tirage au sort parmi les Français inscrits sur les listes électorales serait une bonne idée... On pourrait même avoir une agréable surprise. Il faudrait également retirer les énarques, les huissiers de justice, les avocats, les pharmaciens et les banquiers.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
les dentistes mentent comme des arracheurs de dents... -
@Astrolabe
« La Veme est en mort cérébrale »
La cinquième et à peu près toutes les constitutions des état membres sont en mort cérébrale depuis le Traité de Lisbonne, qui grave dans chacune de ces constitutions la primauté du droit communautaire sur les droits nationaux. Une fin constitutionnelle de la démocratie.
L’important, n’étant pas d’avoir une énième république, je garde la cinquième, je débarrasse le législatif de tout ce qui le lie à l’UE et surtout, j’instaure le ric en toute matière,… et je vois ça comme une saine aventure.
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Sur l’ensemble des photos il a vraiment l’air halluciné, et son parcours : Mayotte Djibouti et Ethiopie c’est quoi ? quel sens ?
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@sylvie
y’a un changement à Strasbourg
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Désolé, je ne crois plus aux contes de fées surtout lorsqu’ils sont adressés à des adultes.
Bis repetita.
À mon avis ce qu’il faut surveiller de près, c’est à quel moment les chefferies des médias vont commencer à débrancher sérieusement Macron ( je pense que c’est commencé si on se fie à ce qui est déjà paru dans le Monde entre autres ) et avec quel(s) scénario(s), quels zigzags, faux-semblants, petits coups de théâtre, rebondissements, événements imprévus à exploiter, sondages bien sûr et à bonne dose, ils vont essayer de finaliser ce qui a été commencé. Pousser sérieusement à nouveau le joker dont ils auraient préféré se passer, le RN, sachant que devant le danger de voir discuter leurs privilèges, il ne s’agit pas de faire le difficile avec la roue de secours qui fait le boulot de nous abuser et diviser.
À nous d’être lucides et vigilants. En capacité de résister et soutenir ceux qui ne changent pas d’avis, d’analyses et de propositions au gré des sondages et guet-apens médiatico-politiques qui bien sûr seront traînés plus bas que terre comme d’habitude et nous comprenons de mieux en mieux pourquoi. Souvenons-nous de l’opération Zemmour-Bolloré chargé de torpiller tout débat politique sur le fond qui a mis d’emblée l’extrême-droite au cœur de la campagne et il y a peu de la tentative de submersion avec 27 sondages sur 27 annonçant un Bardella triomphant et le sort que nous lui avons fait malgré la collusion de l’électorat LR, de celui de Macron et compagnie, ramassant nos voix quand le duel avec le RN était jouable et tous faisant par ailleurs l’union sacrée autour de l’argent quand le NFP menaçait.
Soyons massivement présents et déterminés, c’est l’occasion décisive de nous débarrasser d’un coup du marionnettiste et de la marionnette qui veut sa place.
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@Octave Lebel
Je ne crois plus aux contes de fées. La gauche ? Non, merci. j’ai déjà perdu 30 ans de ma vie à croire bêtement et naïvement à ses chimères. Le RN ? Non, merci. Un parti politique dont l’amateurisme est la marque de fabrique et qui risque de plonger la France encore un peu plus dans un véritable chaos économique et social.
Le NFP et le RN c’est Charybde et Scylla !
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Mais alors qu’elle est votre courant politique ? On ne peut pas etre d’accord à 100% mais le pourcentage que l’on peut s’attribuer dans un courant politique permet à vos convictions politique de choisir (parfois avec de l’amertume).
Mais vous avez pas l’impression que LREM a fait une politique RN ? Que l’amateurisme LREM est sa marque de fabrique tout comme celle du RN ? Que pour avoir voté et milité à LREM vous avez cru au Père Noel ? -
@Gasty
C’est une excellente question que je me pose souvent. J’ai commencé à m’intéresser à la politique en adhérant, il y a fort bien longtemps, à l’UDF. Puis, dans les années 1980, j’ai adhéré au PS. Je l’ai quitté en 2013. En novembre 2016, j’ai adhéré à LREM. J’étais persuadé qu’un gars de ma région allait faire un bon président car il connaissait la situation des villes de province et de leurs habitants. Je me suis lourdement trompé. Vous n’avez pas tort lorsque vous soulignez que LREM, aujourd’hui Renaissance, est un parti politique amateuriste, tout comme le RN. Oui j’ai milité à LREM et j’ai cru qu’une nouvelle politique était possible, une politique plus proche des Français. Ce parti politique n’existe toujours pas. C’est une utopie.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia :
« ...
J’ai commencé à m’intéresser à la politique en adhérant, il y a fort bien longtemps, à l’UDF.
...
Puis, dans les années 1980, j’ai adhéré au PS.
...
En novembre 2016, j’ai adhéré à LREM.... »
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Je suppose adhésion à l’UDF à sa création pour soutenir Giscard. PS en 1980, juste avant l’élection de Mitterrand. LREM en 2016, aussi juste avant l’élection du sot-poudré.N’avez-vous pas un peu le sentiment de suivre les moutons bêlants ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« Oui j’ai milité à LREM et j’ai cru qu’une nouvelle politique était possible, une politique plus proche des Français. Ce parti politique n’existe toujours pas. C’est une utopie. »
Ne croyez-vous pas, au regard de notre asservissement aux États Unis depuis Maastricht, qu’une politique plus « proche des Français » n’est possible qu’à la condition de sortir de l’Union Européenne pour retrouver enfin l’usage des manettes de notre souveraineté diplomatique, législative et monétaire, où croyez-vous que l’on peut s’en passer ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Il ne vous manque plus que d’adhérer à l’UPR et vous aurez fait le tour du manège.
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Rappelons pour mémoire que ce gouvernement pas encore constitué est le moins représentatif possible comme le précédent. Que le NFP avait proposé des solutions économiques approuvées par des centaines d’économistes et une prix Nobel et que dans l’adversité mais par un travail parlementaire rigoureux et continu, il a réussi à proposer un équilibre dépenses et recettes en en dégageant mêmes des supplémentaires. Le tout allègrement torpillé par la coalition des droites avec l’aide du RN. On a beau se disputer les places, pas touche aux intérêts des oligarques. Rappelons aussi qu’il est si simple et un peu normal quand même de s’en remettre à la démocratie quand on a failli et que l’on a été répudié après bien des avertissements. Pour mémoire, les soutiens à l’Assemblée du président doivent 35 de leurs mandats au cordon sanitaire de ceux qui ont sacrifié des mandats (39) pour empêcher l’accès au pouvoir du RN annoncé par tous les sondages et médias. Voilà la réalité politique du pays qui elle ne doit rien aux sondages et à leur magie. La réalité qui dérange nos faiseurs de sornettes qui ont beaucoup de travail décidément et qui se donnent bien du mal pour essayer de construire un nouveau récit sans y arriver. Trop c’est trop et tous les éditorialistes et chefferies médiatiques n’y peuvent plus rien. Il y a 3 pas décisifs à faire pour relancer la démocratie : censure, démission, élections. Nous les citoyens de ce pays, nous le valons bien comme disent les publicitaires. À nous de jouer dans les urnes pour ceux qui n’ont jamais changé de discours ni d’engagements une fois élus même quand le prix à payer a été élevé. Le tout sur fond bien sûr de médisances médiatiques tellement prévisibles qu’elles sont devenues comme le folklore malsain de ceux qui évitent de mettre en lumière les sujets de fond qui ne peuvent plus attendre. Une démocratie de citoyens respectés avec les moyens de l’être et des mandants tenus pour responsables. Un pilotage de l’économie au service de l’efficacité et de l’équité. Comme par exemple rappelons-le le budget mis au point par les parlementaires et renvoyé au sénat par la macronie et le RN afin de se donner un sursis faute de pouvoir expliquer clairement leurs solutions et de quel prix nous en paierons l’addition et surtout pourquoi.
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J’aime beaucoup la citation de Louis XVI, cela montre bien combien il était un imbécile et pourquoi il a été guillotiné. Et dire qu’aujourd’hui encore nous entendons des stupidités du même genre dans la bouche de certains politicards, eux aussi des privilégiés du système bien sûr. Etonnant ?
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Vous écrivez : « Le président de la République est déterminé à rester en poste jusqu’à la fin de son mandat. Pourquoi cette obstination ? Quelles sont les raisons qui le poussent à ignorer ces appels et à maintenir le cap ? »
Voici une raison, occultée depuis 2012, mais dont la déflagration est imminente.
Par exemple, l’outre-mer devient un risque inassurable : https://www.tahiti-infos.com/Lasses-des-emeutes-les-assureurs-lachent-les-entreprises-ultramarines_a227642.html
Pourquoi ? Selon Hervé Mariton, le président de la Fédération des entreprises d’outre-mer (Fedom), "On est sur un problème systémique d’une très grande gravité".
Or, en métropole, il y a un autre problème systémique d’une très grande gravité.
En France, il y a 652 neurochirurgiens (profession médicale) ; depuis l’an 451 avant Jésus-Christ, il y avait 444 avoués (profession judiciaire), cheville ouvrière de la justice, et d’une qualification comparable à celle des neurochirurgiens.
Comme ils furent remplacés par 76.274 avocats (d’une qualification analogue, selon les formations, à celle des généralistes, infirmiers et aides-soignants), autorisés à pratiquer sans formation la neurochirurgie, le dernier avatar est l’augmentation, au 1er janvier 2025, de la prime d’assurance responsabilité civile professionnelle : plus 50 %, dernier palier avant la résiliation par la Cie MMA de sa police de groupe. Ce jour-là, plus aucun avocat n’aura accès aux Cours d’appel, ce qui bloquera aussi, tant les tribunaux, que la Cour de cassation. Et cela peut arriver avant le 9 juin 2025, anniversaire de la dissolution de l’A.N.
Conséquence inéluctable : le renvoi du président, au visa de l’article 68 de la Constitution, devant la Haute Cour de Justice, pour "crime de haute trahison".Si vous souhaitez les détails du dossier, contactez-moi.
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Rappel – Choc sur Canal 10 : le présentateur, Harold Luce, dénonce le bilan catastrophique du « pire président de tous les temps », Emmanuel Macron« Emmanuel Macron est sans doute le pire président de la République de tous les temps. La période Covid reste gravée dans les esprits et c’est sans compter les scandales à venir dans quelques années. Deux ans de coercition, d’obligations, de contraintes, de mesures absurdes sous couvert de révolution scientifique, avec un vaccin tout puissant. Deux ans de mensonges, de gabegie financière avec 400 milliards d’euros dépensés pour une maladie qui a moins tué que la gestion de crise en elle même. Deux ans, sans débat contradictoire où des spécialistes et experts en santé ont littéralement mis leurs confrères au ban de la société comme des parias complotistes. Tout ça, ça doit se payer à un moment donné. »-
Zapping : Les pires humiliations de Macron en 2024-
Révélations de Marc Endeweld sur Macron et son entourage (Bayrou, Attal, ...)« Une semaine après la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre de France, il est peut-être temps de se poser une question : où en est le macronisme ? Que nous dit le caractère fortement éjectable du siège du chef du gouvernement en cette année 2024, où l’on a vu se succéder Gabriel Attal, Michel Barnier et désormais François Bayrou ? Jusqu’à quand “survivra” l’actuel Premier ministre à ce poste là, et est-ce que le président de la République l’aidera à tenir ? Au fond, le macronisme est-il tout simplement au bout du rouleau, condamné à s’auto-dissoudre à très brève échéance ? Et qu’est-ce qui se dit, qu’est-ce qui se pense à l’Élysée dans cette période particulière de l’Histoire de France ? Pour répondre à ces questions, nous avons fait appel à Marc Endeweld, journaliste d’investigation, qui enquête depuis des années sur les coulisses de la Macronie. »-
’’La stratégie politique d’Emmanuel Macron repose sur une vision à long terme. Le président a souvent affirmé sa volonté de réformer en profondeur le pays, et il est conscient que ces réformes nécessitent du temps et de la persévérance’’
Ce n’est pas une stratégie, mais une idée générale, tout le monde veut réformer en profondeur, mais vers quoi et comment ? Macron est une girouette, la seule chose sur laquelle il reste inflexible, c’est la réduction des prélèvements sur les profits financiers, en espérant que la main magique du marché fera le reste. Le constat est que ça ne marche pas.
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@L’auteur qui dit :
Par ailleurs, la stratégie politique d’Emmanuel Macron repose sur une vision à long terme. Le président a souvent affirmé sa volonté de réformer en profondeur le pays, et il est conscient que ces réformes nécessitent du temps et de la persévérance.
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S’il croit vraiment qu’il va pouvoir faire passer des réformes durant les quelque trois ans qui lui restent, c’est qu’il est encore plus atteint que je ne le pense.
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Tout ce qu’il peut faire, pour éviter de nuire à la France encore plus longtemps, c’est de démissionner.
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@amiaplacidus
On se sait du reste pas de quelles ’’réformes structurelles’’ il s’agit, par exemple ajuster l’âge de la retraite est juste paramétrique, la retraite à points est tombée aux oubliettes.
Il faudrait alléger le mille feuille administratif territorial ; réduire drastiquement le personnel public de gestion ; supprimer les 3/4 des agences publiques et les comités Théodule de pantouflage ; réduire les chèques, enveloppes et subventions hors les prestations sociales cotisées ; réduire les aides au reste du monde (dont la guerre à l’Est)...
Mais ne pas raboter les droits acquis par cotisation, de toute façon cotiser dans le privé couterait plus cher pour les mêmes droits. -
@amiaplacidus
« la stratégie politique d’Emmanuel Macron repose sur une vision à long terme. »Oui, la destruction de la France...
L’auteur n’a pas avoué mais il devrait. -
« Démissionner, démissionner »’
Beau mot, mais qui inclurait le fait de laisser choir sa « mission » !
Et encore faudrait il savoir avec exactitude, quelle est ( ou était sa « mission » )
QUI lui à attribué, sa « mission », ? Et est il libre de se « dé »tourner, de lignes pré-écrites de ce cahier des charges., ?
Je pense que c’est lui faire trop d’honneur, que de lui accorder, un choix, qui ne lui a jamais appartenu, et d’en faire un cadre d’entêtement lié à son égo !
C’est juste un bon petit besogneux, à qui on as fait croire que la main dans la braguette de la Raie Publique, ferait de lui un nouveau Nabot Léon, mais, qui visiblement, se dirige à coup de rame, vers sa lil-hote Sainte Hélène à lui !
Non, il n’est pas plus qu’Hun Attila, qui à fait de ce pays, une morne plaine , ravagée encore et encore, par des sbires, à qui on tient porte et buffet ouvert 24h/24 ..
On se préoccupe beaucoup, comme d’un cache misère civilisationnel, des « viols de Mazan » ( comme s’exprime Rakoto, Le fidèle du pot de nuit)...
Mais qui pour parler des viols, tournantes et prostitution, de notre Marianne Républicaine ?
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À quoi sert que Macron joue Fort Chabrol à l’Élysée si aucun des Premiers ministres qu’il nomme ne parvient à former un gouvernement qui tienne plus de trois semaines ?
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Macron représente le néolibéralisme euro-atlantiste, le moins qu’on puisse dire c’est que ça ne marche pas fort chez nous.
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Macron.. Jupiter.. On lui a bien choisi sa symbolique car
Tien.. Connaissez vous cette jolie histoire..
Europe était la fille du roi Tyr. Un jour, pendant qu’elle se promenait sur une plage, Jupiter la vit au loin. Voulant se rapprocher d’elle sans pour autant l’apeurer et donc à fin qu’elle ne puisse pas s’échapper, Jupiter décide de se transformer en taureau blanc. Une fois métamorphosé, il s’approche donc d’Europe qui, sans aucune crainte monta sur le dos de l’animal. Une fois après avoir grimpé, Jupiter s’éloigna d’un pas ferme et décidé emportant avec lui la jeune princesse. Les deux êtres éloignés de toute autre personne s’accouplèrent, donnant naissance à trois enfants.
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Le Maître es cérémonie, continue son périple à Addis Abeba, histoire d’inaugurer L’ancien Palais Impérial, restauré avec l’aide de la France, à coup de 25 millions d’euros .
L’histoire de ce voyage inaugural, ne dit pas si Macronoeud, à arpenté les pièces du Palais, avec une poêle à frire ( détecteur de métaux) histoire de retrouver les 400 kgs d’or du Negus Ethiopien , qui se sont mystérieusement envolés, vers une...
Banque Centrale !
Le Guichetier Rot Chili Hein. viens faire un tour, histoire de vérifier si tout à bien été fondu !
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La raison du divorce entre les Français et Macron.
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Un projectile sniper serait trop propre et trop d’honneur pour ce fumier, et véritable ordure !
Il mérite le sort des Ceocsecu pour lui et son travelo, une rafale dans la poussière d’une arrière-cour, ou la méthode Franco « garrote vil » !
Que ses fidèles l’accompagnent, s’isl le veulent.
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Petit rafraichissement de votre écran : https://web.telegram.org/a/#-1001379495929
Le couple Macron a tellement la haine et la rage contre la France et les Français, qu’il veut les envoyer mourir pour son plaisir personnel. Nous sommes au-delà du sadisme. Il a en main tous les outils pour son plaisir, et il n’a pas l’intention de s’en priver ! Une véritable catharsis ... La gente rothschildienne le protège dans les ordres qu’elle lui donne. Il veut nous emmerder jusqu’au bout, donc : PAN !
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Réponse courte à votre question : parce que Macron est un employé de BlackRock (c’est une image bien sûr).
Macron ne traverse pas les crises : il provoque les crises, par sa surdité et son comportement autocratique. Lorsque la population, qui se rend compte qu’elle n’a plus le pouvoir, conteste, la police l’éborgne, la mutile, la gaze, etc. Voilà comment tient notre petit employé de BlackRock !
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Dans de pareilles circonstances de désaveu populaire, et après consultation du peuple par référendum, le général de Gaulle avait démissionné. C’est toute la différence entre le dernier grand homme d’Etat français, fondateur de la Ve République, et un arriviste mégalomane, mondialiste et qui n’aime pas sa patrie. L’Histoire le jugera sévèrement.
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Notre constitution est un blanc-seing qui permet à un élu de promettre la lune et ensuite de faire comme bon lui semble tout en servant des intérêts particuliers, les siens notamment.
Ce n’est quand même pas un hasard si notre pays se délite, si les riches s’engraissent et si la pauvreté gagne du terrain.
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La seule chose que les français attendent de ce cinglé c’est sa démission , sinon il risque d’être démis avec « perte et fracas »
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Il est devenu, et le confirme jour après jour, que sa présence est une I-nulité flagrante.
Il vit des ses prérogatives d’« homme d’état », suçant jusqu’à la lie, le temps qu’il dit manipuler.
Mais autant que je sache, un vide n’existe que par le trop plein qui l’entoure.
Se gausser et jouer les mas-tu—vu, et n’avoir plus que cela en boutique, arriveras vite à la fin de ses sachets de bonbons moisis, qu’il veut encore et encore distribuer, pas même en les enrobant de papier papilloté.
Ce sont les prémices qui parlent tout seuls ! Le signes avant coureurs de ce qu’il est et seras bientôt.
Se disant Maître es financier, il est devenu un poids mort, y compris, pour ses cireurs de pompes.
Sa distribution répétée, d’un jeu de cartes racornies, vieillottes, dépassées, portraits de véritables dinosaures à clopinettes, qui n’ont fait que mener la France à la décadence, sont ses seules ressources, pour jouer sur la vison de jeunisme perpétuel, que les français doivent avoir de lui_. Et s’entourer de semi cadavres, semble accentuer son beau rôle de zombie .
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«
Macron a affirmé qu’il ne démissionnerait pas. Le problème, c’est que ce n’est pas lui qui décide.
Ce sont ses employeurs. » : https://www.vududroit.com/2024/12/quand-les-oligarques-poussent-macron-vers-la-porte/
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Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre.
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