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Commentaire de suispersonne

sur Une autre vision du Temps de Travail


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suispersonne 24 décembre 21:18

@Christophe DEGANG

Ce topo ne peut pas intéresser

  • les sachants,

  • les merdiacrates,

  • les zélites,

  • ni les tppppdrep, tout petits politiciens professionnels préoccupés de rester en place.

Qu’ils aillent lire ce qui leur plaît, et ne s’imposent pas davantage de souffrance.

L’avenir se fera sans eux.

Postulats

L’humanité pré historique ne fonctionnait pas sur un mode d’avidité, mais d’utilité.

La glorification de l’avidité, largement approuvée, n’est qu’une déformation morale, qui veut imposer, à une sous caste innombrable de perdants, qu’ils n’ont pas de chance ni de talent.

La coopération désintéressée entre humains est infiniment plus efficace et productive que l’accumulation insensée des fortunes du nombre minuscule des ploutocrates, dont chacun peut savoir la nocivité extraordinaire sur le niveau de vie et la survie de l’immense majorité des plus pauvres de cette planète.

Le contexte

Une déformation de notre civilisation a sans doute commencé avant l’apparition de l’agriculture.

Il serait passionnant de pouvoir en décrypter les circonstances, et peut être de mettre en évidence les origines de l’apparition de castes et de hiérarchies.

Et par là même de préciser des causes objectives, fantasmées à tort comme nécessaires, que notre naïveté obstinée suppose modifiables.

Il est bien possible que le passage de l’animisme, logiquement inséré dans tout l’environnement, à toutes sortes de religions aliénantes, qui en éloigne les croyants, en soit, au moins, contemporain.

Par exemple.

Auparavant, on trouvait par exemple des preuves de chasse et de cueillette non genrées, avec des états de squelettes équivalents entre femmes et hommes.

Les traces paléontologiques ont démontré une subite baisse du statut des femmes, devenues moins bien nourries, ce qui est très révélateur d’un changement de leur statut.

Et maintenant ?

Le comportement des « décideurs » dans les conseils d’administration ne peut plus se cacher derrière de prétendues réalités économiques.

Le parallèle avec celui des dirigeants mafieux est éclatant : aucune préoccupation morale.

Pétrochimie, big pharma, distribution, agriculture industrielle, industries matérielles ou logicielles de toutes sortes, …, exploitent un système de confiscation du bien commun, vicieusement programmé pour installer des monopoles et des ententes.

 

Des faits.

  1. La propagande hostile à toute mention d’un dérèglement climatique est dorénavant dévoilée chez les pétrochimistes, très bien informés des réalités depuis au moins 50 ans.

  2. Racheter toute innovation, provenant de la recherche publique, pour imposer des tarifs exorbitants est une pratique devenue habituelle de big pharma, qui n’a vraiment plus besoin d’investir dans la recherche.

  3. Imposer aux consommateurs la disparition de toute offre concurrente, pour pouvoir dominer tous les rapports de force avec les fournisseurs, est une constante de la distribution, avec ses alliances internationales de centrales d’achat : « on vous fait une proposition que vous ne pouvez pas refuser » ...

  4. Un refus de travailler sur des sols vivants entraîne toutes les dérives de l’agro industrie, et la non qualité, évidente et démontrée, de l’alimentation produite.

  5. Les subventions honteuses de l’UE pour les cargos de découpes de poulet congelé bas de gamme, exportés en Afrique, ont directement tué les élevages locaux vivriers de succulents « poulets de brousse », et accéléré l’émigration de ceux qui ont perdu tout espoir de vivre bien dans leur pays.

  6. Ça suffit.

 

L’avidité, moteur actuel indépassable ?

Ces entités impertinentes sont fondées sur l’obligation de gagner sa vie imposée à chacun de leurs employés.

  • Et si ce n’était plus le cas ?

  • Hou là ! Comme vous y allez !

  • On s’en fiche, on va multiplier les robots !

  • Bien.

  • De toute façon, on sait qu’il n’y aura jamais plus assez de boulot pour tout le monde.

 

Si personne n’est obligé de gagner sa vie, alors chacun est libre de s’intéresser au sujet de son choix.

  • Mais quelle pagaïe !

  • C’est l’éloge de la paresse !

  • Personne ne va plus rien produire !

 

Vous croyez ?


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