ok avec l’auteur et Julian.
Bien de comprendre que
- l’équilibre commercial (que nous avions avant 1971) est la seule solution viable
si balance excédentaire, nous travaillons pour que les étrangers consomment, c’est maso !
si balance déficitaire, les étrangers travaillent pour que nous puissions consommer, illusoire d’espérer que ce cadeau peut durer éternellement (et cela fait déjà 20 ans ! cela craque obligatoirement ...)
- pour obtenir cet équilibre, pas de mystère = vendre plus et/ou acheter moins aux étrangers. Que chacun agissent à son niveau
- pour produire/vendre plus sans « nous tuer au travail » = bien choisir les productions à faire. Grande simplification nécessaire pour ne pas consacrer nos énergies à des trucs qui finalement ne servent en rien à notre bonheur (mes dadas = pub, concurrence et système financier entre autres). Produire tout ce que nous savons (savions) faire, et le consommer en priorité (stop au mercosur et au made in china ... ou autres)
- l’argent ne devrait avoir aucune valeur en soi (petite variante avec l’auteur), mais simple outil très pratique pour faciliter les échanges de biens et services (qui seuls ont de la valeur)
Quant à la remarque « Consommer n’est pas une nécessité » de Com une outre, pas sérieux. Simplement le fait de manger est une consommation (sauf a tout produire soi même, ce qui quasiment impossible). Mais ok qu’il faudrait mieux définir les biens et services produits et consommés, sans voulour toujours plus de croissance, et en supprimant toutes les productions dont la consommation ne répond pas réellement à notre « bonheur »