@Eric F
"Une feuille de route détaillée ne peut anticiper les inévitables aléas,
qui peuvent devenir prépondérants (crise économique, épidémie,
cataclysme, émeute, conflit...). «
=> Aucun rapport entre le concept de feuille de route, auquel vous ne comprenez rien (réfléchissez un peu plus, que diable), et l’existence inévitable d’aléas : toute planification de chantier quelconque tient évidemment compte de possibilité d’aléas, par nature imprévisibles, et de correctifs ultérieurs impossibles à préciser à l’avance.
»Tirer au sort le principal gouvernant est une ineptie, le programme de
tel candidat peut être massivement rejeté par la population. «
=> Vous démontrez que vous ne comprenez rien à la feuille de route, qui n’a aucune vocation à accepter un »programme« de qui que ce soit, mais découle d’un programme de progrès antérieur, décliné dans la constitution.
»Dépouiller
les citoyens du droit de choisir l’option politique est
anti-démocratique«
=> En éliminant toute possibilité de carriérisme politique, c’est le peuple qui aura décidé de l’option politique constitutionnelle, et qui dispose justement des moyens de révocation instantanée ad nutum.
=> Quant à votre très faible argument de taille, réfléchissez encore, c’est une rengaine irrecevable. En quoi la notion de dimension serait pertinente pour définir les relations internes d’une société ?
=> Vous auriez pu présenter la nécessité de connaissances préalables, de diplômes (comme celui des ânes de l’ena), d’expérience préalable : sachez que c’est un argument éculé de la caste dominante, qui méprise profondément »les gueux« , qui seraient incapables de bien agir. Vous rejoindriez ainsi védrine, qui a déclaré : »on ne peut pas tirer au sort un premier violon", refusant même l’idée que de nombreux premiers violons existent parmi les gueux.
Cela dit, échanger avec des interlocuteurs de mauvaise foi ne suscite chez moi aucune vocation à perdre mon temps. Je ne peux échanger que des idées, et ne m’intéresse pas à celles et ceux qui veulent avoir raison.