@riemann66
Cela me fait rêver à la possibilité de faire fonctionner le λ-calcul dans notre cerveau à la même vitesse.
Il a fallu longtemps à cette pianiste pour pouvoir jouer ce morceau. Il
en faudrait au moins autant pour que notre cerveau puisse interpréter
aussi vite un code λ-calcul. Il y aura peut-être un jour une école de λ-calcul comme il y a des écoles de musique pour former des humains capables de manipuler les algorithmes à cette vitesse, aidés ou non par des machines, des pianos à algorithmes. Je suis sûr qu’il en existe déjà.
Alors avec un peu (beaucoup) d’entrainement
on pourra un jour jouer avec de beaux algorithmes comme cette pianiste
joue du piano. Par exemple pour générer des odeurs, des couleurs, des
sons, des voix, des formes, des sentiments, ...
Ce qui me rend optimiste...