Avant toute autre
considération, quand l’humanité en est à consommer – ou
simplement saccager en moins de 6 mois ce que la nature lui
offre pour vivre un an (Cf. “Notre empreinte écologique” aux
éditions écosociété), une croissance démographique ayant atteint
la prolifération n’est plus favorable qu’à ceux qu’enrichit
l’économie générée par ses besoins, tant matériels que
spirituels.
Ce
qui est sans compter avec l’expansion de la pauvreté et le
creusement incessant des inégalités sociales tels qu’ils en
résultent, structurellement, depuis que la société des hommes
existe, sous des pouvoirs au discernement ainsi qu’aux intentions
les plus suspects.
La
croissance démographique étant cependant pour les plus déshérités
– toujours pour des raisons d’ordre structurel –, la seule
chance de s’extraire de leur condition et de voir leur descendance
échapper à ce qu’ils leur transmettent de leur patrimoine
génétique, social et culturel, quelles conclusions pourront-ils en
tirer, et à quels actes de désespoir seront-ils sujets ;
sachant que sous l’impulsion de meneurs bornés intellectuellement
parce qu’ignorant l’indulgence d’une ouverture d’esprit pouvant
seule contrarier leur goût pour le pouvoir absolu, ces oubliés de
la richesse ouvrent enfin les yeux sur le mécanisme incontournable
dont ils ont toujours été les victimes.
Pour
combien de temps, désormais bien loin des retombées d’une
surpopulation planétaire exposée à tous les égoïsmes humains,
dont l’exemple ultime pourrait être l’exode vers d’autres
planètes de ceux dont les ancêtres leur en auront transmis les
moyens ?
Voir :
Schéma
sans commentaire
https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2015/03/schema-sans-commentaire.html
Psychologie
des foules
https://classiques.uqam.ca/classiques/le_bon_gustave/psychologie_des_foules_ Alcan/Psycho_des_foules_alcan.pdf