@Parrhesia
effectivement, dès 1969 Raymond Arond s’interrogeait sur « Les désillusions du progrès », l’horizon commençait à s’obscurcir une génération après les « trente glorieuses » qui ont « démocratisé » l’accès au confort (« motorisation heureuse » de masse, machines à laver, etc)...
le vrai danger de l’oxymorique « IA » (en fait le « calcul machine », rien d’autre), ce n’est pas que les robots « prennent le pouvoir » à la Terminator mais qui les programme pour « ça », c’est-à-dire le pouvoir d’ores et déjà pris sur une lobbycratie de groupes privés qui imposent leur « agenda »...
le « grand remplacement » de l’homme par les machines vu par des visionnaires comme Jacques Duboin dans l’entre-deux-guerres devait le libérer des servitudes liées aux contraintes pour assurer sa subsistance, pas le précipiter dans le néant algorithmique, informatique et machinique sans âme... le « progrès de l’homme » attend toujours de s’actualiser une fois pour toutes...