La perfection n’existant pas humainement, les nouvelles autorités algériennes sont donc potentiellement critiquables en divers domaines sauf, à mon avis et entre autres affaires, en ce qui concerne l’écrivaillon arrêté récemment.
En effet, outre le fait qu’en tant que citoyen algérien, B. Sansal a enfreint la législation algérienne, notamment l’article 87 bis du code pénal, qu’en sa qualité d’ex haut fonctionnaire il ne pouvait moins que quiconque ignorer, il s’est avéré être aussi, de longue date, un sayan à la solde des $ionnards, osant s’en vanter et, tel un « kleenex », s’est fait jeter par ces derniers.
Expliquant et confirmant ledit délit, ceci constitue aussi une infraction et tous deux considérés comme impardonnables par n’importe quel algérien digne de ce nom, donc sévèrement punis par les lois de cette jeune et intransigeante nation, très jalouse de sa souveraineté, de son intégrité dans tous les sens du terme et, surtout, anti$ioniste car, tu m’étonnes, viscéralement anticolonialiste.
Pour info, ledit scribouillard n’est pas seul, les prisons algériennes sont pleines et ne cesse de se remplir, avec des individus se croyant au dessus des lois.
De fait et y compris sur ce dernier point, tout le contraire de la vieille ripoublique française, dont les dirigeants corrompus se succédant au pouvoir depuis des siècles, $ionnisés jusqu’à à la moelle sont toujours aussi colonialistes, au point de soutenir éhontément un énième génocide au XXI siècle, accorder l’immunité a un génocidaire frappé d’un mandat d’arrêt international et, ignoble culot, donner des leçons d’humanité à un Peuple à qui, colonialisme de peuplement oblige, elle a fait perdre plus de 5 millions des siens de 1830 à 1962.
Mais les algériens ont la mémoire longue et s’il est un Peuple ayant « scanné » l’idéologie coloniale « des lumières » en profondeur, sous tous les angles et en avoir payé le prix fort, c’est bien le leur et Gaza qui, non plus, ne « passera » pas, a ravivé d’anciennes et profondes blessures. . .