Commentaire de Jules Seyes
sur L'homme derrière la machine de mort nazie : Rudolf Höss, le bourreau d'Auschwitz
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Nouvelle illustration de la banalités du mal.
Vous auriez gagné à rappeler que les « crimes » étaient légaux selon la loi allemande et que justement là est la subtilité du droit de Nuremberg qui suppose l’existence d’un droit même si il est absent dans les textes.
Quand á la vigilance, vu le matraquage propagandiste que nous subissons, je crains qu’elle n’ait été bien oubliée.
Derniers commentaires
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20/01 15:57 - Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Bonjour, Merci pour votre commentaire. Effectivement, de nombreux nazis étaient des hommes (...)
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20/01 12:17 - Jules Seyes
Nouvelle illustration de la banalités du mal. Vous auriez gagné à rappeler que les « crimes » (...)
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20/01 11:44 - papat
giuseppe , le petit moustachu m’a appelé et m’a dit ! qui qui qu’avait (...)
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20/01 11:06 - Giuseppe di Bella di Santa Sofia
@Julian Dalrimple-sikes Bonjour, Sylvain Rakotoarison vient justement de publier un excellent (...)
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20/01 10:38 - Julian Dalrimple-sikes
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