@Julian Dalrimple-sikes
un peuple souverain où tous sont en combat et c’est le cas pour avoir
plus , ne veut rien dire pour moi car c’est tout pour ma gueule et
chacun sa merde, où l’univers entier tourne en fait autours de chaque
MOI MOI MOI ,mais si chacun étant souverain donc éveillé à ce qu’il est,
comme les autres, il ne peut pas se choisir un maître qui parasite le
tout, point barre !!
Ce que j’écris sur la démocratie ne dit pas le contraire !
Bon, je ne vais pas réécrire une fois de plus ce que j’écris tant par ailleurs.
Je vous renvoi à ces deux articles que j’ai écris, c’est à dire, le premier qui traite de la responsabilité en société et qui se définit comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui (jamais envers soi même, car c’est là que réside la souveraineté et la propriété, pas au delà en terme de responsabilité et de démocratie.
Le second, traite de la relation entre la coopération et la compétition, qui montre que la coopération est toujours une relation d’intériorité, tandis que la compétition est toujours une relation d’extériorité.
La subtilité étant que le sens de la relation (c’est à dire, où l’un est l’ordre premier, directeur et l’autre un ordre secondaire), dépend de l’échelle à laquelle on se trouve et du sujet en question.
Sinon, le peuple désignant l’ensemble de la population, donc, riches comme pauvres, travailleurs comme exploiteurs, mon commentaire précédent ne faisait pas de différence et traité des conditions d’existences de la démocratie, à savoir, une transparence totale entre le peuple et le gouvernement.
En fait, la démocratie ne repose pas sur le plus grand nombre, mais sur le mode de gouvernance. transparente ou opaque, mandat impératif ou libre. Obéissance à la loi ou à la hiérarchie. Système économique communiste ou capitaliste (fondamentalement incompatible avec la démocratie qui exige l’interdiction de la propriété privée des moyens de productions collectifs).
Mais si on considère que plus des 2 tiers de la population considère que la justice sociale et économique repose sur le principe de l’équité et que les autres soutiennent de fait l’iniquité, alors, le « moi » de cette majorité écrasante accepte que ce soit le principe du mérite personnel vis à vis de tous les autres qui détermine ce que chacun reçoit et non pas sur la capacité d’un petit nombre à manipuler et exploiter ce grand nombre à son profit personnel via la propriété et une souveraineté nationale qui existe que pour « le petit nombre qui fait travailler le grand, est nourrit par lui et le gouverne » (Voltaire).