Voici une fiche biographique de mes travaux sur la 5e colonne, les fossoyeurs de la République, les criminels de l’information et les agents atlantistes ou européistes : Ekaterina Kotrikadze (1984-), originaire de Tbilissi, Géorgie, elle préféra partir pour Moscou, où elle fit des études supérieures de journalisme, à l’Université Lomonossov, diplômée (2005).

Elle retourna immédiatement en Géorgie, où elle travailla pour la chaîne TV Alania (2006), puis RTVi (2008). Elle fonda la chaîne PIK, première chaîne d’information du Caucase, d’ailleurs en langue russe (2009-2012), puis sa création n’ayant mené nulle part, elle s’installa de nouveau en Russie et réintégra RTVi comme chef du service des infos (2012). Elle y fut ensuite nommé rédactrice en chef adjointe (2016).

Elle accusa de harcèlement sexuel un député de la Douma russe, de la droite nationaliste (février 2018). Elle fut invitée comme conférencière au Festival international du journalisme à La Pérouse, Italie (2019). Elle quitta RTVi au moment d’un congé maternité (juin 2020), passant dans les rangs de la chaîne de TV Dojd (septembre 2020), comme chef du service infos et présentatrice. La chaîne suivait une ligne anti-Russie. Ce média fut finalement fermé (2 mars 2022), ayant pris des positions glissant dans la trahison la plus éhontée, en faveur de l’Ukraine, l’abandon des républicains du Donbass, ou encore l’abandon des Criméens.

Elle fila à l’anglaise en Géorgie, s’installant à Tbilissi et lança une chaîne YouTube qui fut boostée par des artifices et gagna 100 000 abonnés... en 5 jours (22 mars). Elle fut inscrite sur la liste des agents étrangers par la Russie (octobre), et bientôt publiée par le faux média de la guerre psychologique français, Desk Russie de Galia Ackermann. Elle déclarait à propos de la Russie : « dans notre pays aujourd’hui les discours contre la guerre sont passibles d’une peine similaire à celle infligée aux meurtriers particulièrement sadiques »… Un mensonge énorme, les peines prévues étant loin de celles des crimes de sang. Une grande mauvaise fois… nous n’avons jamais vu dans l’histoire aucun pays en guerre laisser des traîtres prendre parti publiquement pour le camp adversaire, la France y compris. Enfin, Madame Kotrikadzé s’oubliait… car comme le camarade Joseph Djougachvili, dit Staline, elle n’est en aucun cas Russe, et ne peut parler, et ne pourra jamais parler en cette qualité, elle est Géorgienne ! (5e colonne géorgienne et russe, carriériste forcenée, nourrie au sein russe, poisson de l’aquarium du Show Business, plante verte, anti Russie de circonstances, propagandiste).

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